Jeudi 11 septembre 4 11 /09 /Sep 22:17

La veille au soir mon grand père m'appelle pour me demander de venir l'aider le lendemain matin pour s'occuper de son jardin. J’accepte à contre coeur (je n'aime pas faire ça). Mais j'ai accepté pour lui faire plaisir.
Le lendemain matin je me pointe à 8h30 chez lui et aperçoit les deux jardiniers qui bossent pour une entreprise de la région, et qui vont nous aider pour la journée. Immédiatement mon regard se pose sur le plus jeune des deux employés. Il a un regard de charmeur, un corps fin et de superbes fesses enfermées dans son pantalon serré. Il s'appelle Fabien et est apprentie.

La journée passe et j'essaie, le plus discrètement possible, de le mater entre deux tâches à effectuer. Je n'espère qu'une seule chose, qu'il soit gay et que je lui plaise suffisamment pour qu'il ai envi de moi. Toute la journée j'essai de me faire remarquer par lui pour essayer qu'il laisse apparaître une attitude pour que je sache si je lui plais. Rien ne se passe. Le soir juste avant que les deux employés ne partent, mon grand père leur propose de boire un verre tout les quatre dans le salon. Je comprends que c'est ma dernière chance si je veux pouvoir le revoir. J’essaie de nouveau de me faire remarquer mais cette fois en inscrivant mon numéro de portable sur l'écran de mon téléphone et de mettre mon l'écran de téléphone face à lui. Je le vois jeter des regards rapides de temps en temps en direction de mon mobile mais rien de plus. Le moment tant redouté arrive, ils nous saluent et grimpent dans leur camion pour repartir. T’en pis pour moi, se sera pour une autre fois.

Alors que je discute dans la cuisine avec ma grand mère, on frappe à la porte. C’est Fabien qui me propose tout bas et discrètement de me donner son numéro de téléphone. J’accepte et le note sur mon portable. Il repart vite et je fais de même jusqu'à chez moi. Je profite de l'absence de mes parents pour aller m'acheter une pizza et envoi un texto à mon nouvel amant. Il me propose de venir me rejoindre. J’accepte avec joie. Une fois qu'il me rejoint nous partons marcher un peu plus loin de la foule. Une fois arrêté dans un endroit plus discret et sombre nous nous asseyons et commençons à nous rouler des patins d'enfer. Il embrasse superbement. Nous commençons à nous caresser et sa réaction ne tarde pas à se faire sentir sous son jean. Nous nous déshabillons mutuellement et je commence à le sucer tout en le branlant en même temps. Il a l'air d'apprécier ce que je lui fais et je continue. Il me demande de me retourner et je lui obéis immédiatement comme un bon soldat. Il commence à me lubrifier le trou et je comprends que d'ici peut il va y introduire son sexe. Très vite, n'y tenant plus, il entre son sexe d'un coup sec. Je pousse un cri de douleur mais très vite cette sensation fait place au plaisir immense que je ressens. Son petit sexe me laboure le trou à l'intérieur et j'aime cela. De plus le fait de faire l'amour en extérieur comme cela, m'excite encore plus car il y a le risque de se faire capter. Au bout d'un moment n’en pouvant plus, il retire son sexe de mon trou, enlève la capote et se vide sur mes fesses. De longs jets chauds viennent se jeter sur mon cul. Cela m'excite et me fait jouir dans un dernier cri de plaisir.nous nous embrassons encore quelques minutes puis nous nous rhabillons pour partir chacun chez soit tout en se promettant de se revoir dès qu'on le pourrait. Sur le chemin jusqu'à ma voiture nous faisons des pauses pour nous embrasser et nous caresser. Et l'un comme l'autre nous sentons le désir qui remonte en nous. Malheureusement le temps ne nous permet pas de recommencer nos ébats sexuels.

Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Samedi 6 septembre 6 06 /09 /Sep 10:57
Ceci est un rêve
Mais jamais auparavant je n'avais jouis à ce point dans un rêve !
Depuis ma rupture avec ALEX, j'avoue que j'ai beaucoup de mal à accepter.
J’avais besoin de le revoir une dernière fois. Ça fait déjà 5 mois que je ne l’ai pas revu.
Je prend mon courage à 2 mains je lui téléphone pour lui dire que j'ai besoin de lui parler.
Je lui donne rendez-vous au moulin watten c'est un endroit où il m'avait conduit, c'est magnifique.
J’y suis un peu en avance je me mets près du moulin afin de mieux le voir arriver.
Il ne tarda pas d'ailleurs.
Mon coeur bat à 100 à l'heure, mais son regard et froid et distant il me demande sèchement ce que je lui voulais.
Je ne sais pourquoi mais je me suis mise à lui faire plein de reproches, à lui crier dessus, il n'apprécia pas et commença lui aussi à crier.
Quand soudain je lui dis :
"De toute façon tu m’as jamais aimé et tu n’as même plus envie de moi"
Là, je l'ai vu devenir rouge de colère il m'attrape les 2 mains me plaque contre le mur, j’avoue avoir eu très peur.
Il me dit méchamment :
"Ah oui j'ai plus envies de toi, je vais te montrer moi"
Il déchire mon chemisier laissant apparaître mes seins je dois dire que je ne porte pas souvent de soutien gorge…

Ses gestes sont brutaux.
Il soulève ma jupe tout en tenant mes mains d'une seule main.
Il me pénètre la chatte sans ménagement avec ses doigts sauvagement, je laisse sortir un cri de douleur.
Mais il continu a me fouiller les larmes me montent à la gorge…
Je n'aimais pas ce qu'il me faisait subir !
Il compris très vite que je pleurais malgré sa fureur je sentis ses caresses ce faire douceur.
Quand soudain il me prit dans ses bras pour m'embrasser fougueusement.
Sa bouche pris possession de mon sein pendant que son autre main se frayait un chemin entre mes cuisses.
Je suis toute mouillée ses doigts me pénètrent par 3, ils s'enfoncent profondément et fermement ce qui laisse sortir de ma bouche quelque gémissements.
Je viens défaire son ceinturon, son pantalon et vient libérer sa queue, que le spectacle n'a pas laissée indifférente, elle est là dressée, fièrement tendue.
Je la caresse d'une main légère et il gémit. Je veux le faire gémir, je veux le pousser au paroxysme du désir et du plaisir, en cet instant il m'appartient.
Je regarde ALEX provocante.

Je prends sa queue à pleine main et le branle doucement tirant et étirant la peau de son sexe jusqu'à la garde, mon autre main vient griffer ses testicules les caresser. Il gémis et j'aime ça.
Une goutte de sperme perle au bout de sa queue et je viens la laper d'un coup de langue impatient.
Ma langue se fait taquine, je le lèche tantôt à grand coup de langue, tantôt elle se fait pointue et vient agacer son gland, jouant, le provoquant.
Mes lèvres rouges viennent enserrer son sexe et je le suçote du bout des lèvres, puis ma bouche vient glisser et je l' engloutis doucement centimètre par centimètre, sa queue s'enfonce dans ma bouche, chaude, douce, humide.
Et je coulisse sur sa queue qui luit de ma salive, ma langue vient s'enrouler autour de son membre tendu à l'extrême et ma main aux doigts fins vient presser ses testicules mais je sens déjà son plaisir monter..
Je décide donc d'arrêter afin que ce moment que je savais être le dernier.
Je remontais a sa bouche pour en prendre possession, pendant que ses doigts s'infiltrent sous ma jupe, j'écartais les jambes afin de lui faciliter le passage.
Mon vagin se crispe autour de ses doigts et il vit une vague de plaisir qui me traversait.
Sa main devient soudain mouillée du jus que je laisser laissait couler: mon plaisir était intense.
Il me retourna releva ma jupe sur mon dos j'imagine à cet instant la vue qui était la sienne !
Il m'attrape par les hanches…
J'étais si humide qu'il s'enfonça avec facilite.
Il s’enfonçait loin en moi, ses coups de butoirs ce font rapide je sens ses testicules frapper mes fesses.
Je sens son doigt caresser la raie de mes fesses, je me cambre un peu plus pour lui faire comprendre que j'aimerais sentir son doigt.
Il imprègne son doigt de salive et l'enfonce lentement dans mon anus déjà dilaté par l'envie.
Je sens le désir anal monter en moi.
Ses va et viens entre son doigt et son sexe quel bonheur ! Il retire son sexe, le fait glisser le long de ma raie avant de s'introduire dans mon anus qui le réclame.
Son sexe dans mon cul me fait un petit cri de douleur qui ce transforme très vite en gémissements de plaisir ses coups ce font de plus en plus rapides et forts.
Je me caresse le clito en même temps ce qui fait que je sens très vite une chaleur m'envahir.
je sens la jouissance venir, j'aimerais me retenir mais j'y arrive pas , je lâche un cris de jouissance mais en fait je cris tellement fort que je me suis pas rendu compte que je criais en dehors de mon rêve et oui j'ai jouis en rêvant ! ! !
Jamais je n’avais jouis en dormant auparavant je dus croiser les jambes mon clitoris ne cessait de battre tel un coeur en cavale !
Mon seul regret fut de ne pas sentir la jouissance d'ALEX…
Lorsque je me suis réveillée j'aurais aimé que ce ne soit pas qu'un rêve…
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Samedi 6 septembre 6 06 /09 /Sep 10:51
En 2005, mon mari n’ayant pas pu prendre de vacances, il m’autorisait à partir avec une de mes amies, en Tunisie, pour une semaine.
Nous étions à Monastir.
Même si nous nous entendions parfaitement, nous n’avions pas les mêmes centres d’intérêts. Elle aimait beaucoup visiter et découvrir les sites, alors que je préférais nettement la plage et le bronzage. Nous nous retrouvions le soir pour le dîner et, parfois, sortir dans la boite de l’hôtel.
Lors de mes séances de bronzage, j’ai fait la connaissance d’un plagiste et de sa bande de copains. Ils étaient tous aux petits soins avec moi, mais seul le plagiste (Makhram) a réussit à me séduire (sans trop de mal) et dès les premiers jours il me faisait découvrir son cabanon, sur la plage, où il rangeait tout son matériel en fin de journée.
Il était plus jeune que moi, et, je n’avais pas de temps à perdre ! Si bien que le deuxième jour, en plein après midi, alors que nous étions tous deux dans son « territoire », je refermais la porte derrière moi, et, les quelques rayons de lumière qui filtraient étaient suffisants pour ne pas se heurter dans son bric à brac. Il s’est approché de moi et m’a embrassé fougueusement. Je sentais son pénis durcir contre mon ventre et mes jambes devenaient toutes molles. Après avoir ôté mon maillot de bain et m’avoir copieusement peloté les seins et fouillé la chatte il baissa son short pour me faire découvrir un sexe très développé et dur comme de la pierre. Je jouissais tellement fort sous ses coups de boutoirs qu’il était obligé de me mettre une main sur la bouche pour étouffer mes orgasmes. Tous les jours, c’était un rituel (même parfois le matin). Il était fier de me présenter à ses copains de plage mais son coté macho faisait surface dès qu’un de ses potes m’approchait d’un peu trop près.
Cependant, un jour, ses copains qui avaient compris notre manège quotidien dans le cabanon, ce sont approchés, ont commencés à nous « houspiller » gentiment, et, devant leur insistance, nous avons dus nous rhabiller et leur ouvrir la porte. C’était la veille de mon retour en France. Ils tenaient une bouteille de gin à la main et semblaient quelque peu éméchés. Makhram qui n’était visiblement pas content à quitter les lieux pour rejoindre la plage et s’affairer à ses occupations de plagiste. Ses copains qui ne manifestaient pas d’agressivité ont quand même refermé la porte derrière eux et sur un ton enjoué mon demandé de leur faire voir mes seins. Après tout c’était la fin de mes vacances, nous étions en plein jour, et, être désirée par ces jeunes Tunisiens …. Tout cela réuni m’a fait capituler. Je me suis vite retrouvé nue, ouverte, me faisant caresser, peloter par une dizaine de mains. Un doigt inquisiteur a, également, pénétré mon anus. Ils parlaient arabe entre eux et je m’en fichais.
J’avais la chatte hyper dilatée. Pourtant aucun n’a abusé de moi. Je les ai tous sucés, ils se sont vidés, soit dans ma bouche, soit sur mes seins. Pour plus de discrétion, j’ai demandé à sortir la première, je me suis jetée à l’eau pour faire disparaître leurs traces de semence, et, j’ai eu beau scruté la plage, je ne voyais plus Makhram. Je ne l’ai d’ailleurs plus jamais revu.
Ensuite, j’ai beaucoup regrettée qu’ils ne m’aient pas prise à tour de rôle.
Je n’ai rien raconté de tout cela à mon amie et elle reste persuadée que durant ces vacances « j’ai du avoir un petit flirt !? »
Si elle savait !!
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Samedi 6 septembre 6 06 /09 /Sep 10:50
Un dimanche pluvieux, à tourner en rond... Lolita, 23ans et célibataire s'ennuyait à mourir, son esprit vagabondait ici et là... soudain, ses pensées se fixèrent sur une subite envie de sexe... pas de mec à l’horizon depuis quelques semaines, elle se mit devant l'ordinateur à la recherche d'un site chaud et tombe sur des images lesbiennes qui lui provoquent cette sensation agréable dans la culotte.. Lolita aime plus que tout les mecs mais voir ces bombes dénudes l'excite intensément... Elle parcourt les photos de filles aussi chaudes que l'enfer... Elle ne résiste pas à l'envie de glisser ses doigts sous son string déjà humide et tout en matant de belles salopes elle active frénétiquement sur son clitoris... Elle se laisse aller, continuant de plus belle, ses mains caressant tour à tour ses seins durcis de plaisir, ses fesses à damner un saint... et sa chatte mouillée...mmmmh , Lolita est en feu, elle quitte son écran tremblante à la recherche de son gode , cadeau de sa meilleure amie !! Jamais servi mais pratique ce jour affamée de sexe... Bingo... Lolita court sur son lit, se dessape en deux secondes et commence à se masturber doucement avec le gode qui glisse de son minou à son cul... c'est booooon !! A quatre pattes, Lolita a envie de baise ! Se doigtant lentement le cul, elle s'enfonce violement le gode dans son sexe mouillé et commence de longs vas et viens.. Ses doigts s’activant tantôt sur son trou du cul, tantôt sur son clitoris.. Elle gémit de plus en plus , elle s'abandonne, le sourire aux lèvres elle se gode comme une chienne en chaleur.. OOOh OOooouiiiii , plus vite, plus fort , OOOOoooooooh je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir...mmmmmmmmmh.....Son corps tremblant de plaisir, Lolita retire le gode, effleure son minou brûlant et lèche sa semence avec volupté pensant au plaisir qu'elle vient d'avoir.... Lolita ne s'ennuie plus et décide de renouveler l'expérience...cette fois sous la douche...
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Samedi 6 septembre 6 06 /09 /Sep 10:49
J'aime voyager. Pas seulement en réalité, ce qui m'arrive comme à tout le monde. Non mon désir est de faire le tour du monde par des rencontres féminines originaire de tous les continents ou pays.
J'ai pris goût à cela après avoir rencontré une cambodgienne. Elle avait bien sur le visage rond de ceux de sa race (attention je ne suis pas raciste) n'était pas très grande environ 1 m 65 mais était très bien proportionnée. Je l'ai rencontré chez des amis où elle accompagnait d'autres amis. Nous avons eu presque aussitôt une attirance, pas forcément sexuelle mais sur des petits rien : nous aimions presque les mêmes musiques classique : j'étais du genre classique 16 ou 17° siècle, elle préférait le 19 ou 20° siècle. Tous les goûts sont dans la nature. Finalement cette réception nous ennuyait plutôt qu'autre chose. Nous sommes partis tous le deux sans but bien précis et avons fini par nous asseoir dans un petit café très sympa à peu de distance. Buvant ensemble un café, la conversation dérivait bientôt sur nos besoins sexuels.
Naturellement elle ne se dévoilait pas beaucoup mais je compris quand même qu'elle était attirée par les hommes grands ce que je suis. Je lui faisais des compliments sur son visage et son corps admirable. Notre conversation finissait bientôt, l'heure tournait et il me fallait rentrer tôt. Nous avons prit rendez vous le lendemain et l'invitais à un restaurant dont je connaissait la bonne chaire.
Pile à l'heure dite elle arrive et nous choisissons un menu assez léger. Le repas se passe fort bien et nous reparlons de la même conversation sur le sexe. Elle se confiait un peu plus. Moi aussi. Mais nous nous excitions sans le vouloir. Je sentais en elle une envie de faire l'amour et elle le sentait sur moi. Je lui proposais d'aller chez moi boire un verre. Après quelques manières elle acceptait.
Mon chez moi n'est pas grand, un séjour, une cuisine deux chambres. Mais il allait fort bien. Je la fis s'installer sur la banquette de la salle de séjour en lui offrant un alcool qu’elle refusait préférant un jus de fruit. Après un instant de gène, je pris les devants en me rapprochant d'elle et la pris par les épaules. Elle ne se dérobait pas, au contraire. Je posais mes lèvres dans son cou : elle offrait son cou. Enfin pensant pousser mon avantage, j'allais l'embrasser lorsque sa bouche m'offrait un baiser profond, très profond même. Je compris à ce moment là qu'elle désirait finir la nuit avec moi. Je lui mis une main sur un sein qui durcissait devant mes caresses et je m’aperçus qu'elle ne portait pas de soutien gorge. Je soulevais son pull et lui mis la poitrine nue : que de beau seins, tout rond, les aréoles à peine marquées, les tétons durcis par lez désir. Je suçais un sein avant d'aller à l'autre pour qu'il n'y ai pas de jaloux. Elle renversait la tête en jouissant du présent. Elle ne restait pas inactive et cherchait elle aussi mes tétons. Les ayant trouvé elle se mit à son tour à me les sucer.
Je descendais ma main vers ses genoux et remontais le long de ses cuisses qu'elle écartait pour faciliter le passage. J'arrivais à la culotte qui était trempée. J'écartais le tissu pour accéder à son con. Mais elle préférait se lever et enlever ses vêtements, entièrement nue, je la fis asseoir sur mes genoux pour la branler. Elle voulu me branler aussi : sa main sur mon sexe durci lui indiquait bien que je bandais beaucoup. Je me mis nu à mon tour, avec son aide pour enlever le slip. Elle pris ma bitte dans sa main et la branlottait lentement. Pour que je ne jouisse pas trop vite. Ma main sur son sexe lui branlait les clitoris et je changeais de place pour lui mettre un doigt dans le con. Elle jouis presque de suite. Mais connaissant les femmes je savais que je pouvais encore lui donner du plaisir en la baisant. Nous avons jouit tous les deux en même temps : je sentais les spasmes de son con autour de ma pine. J'en bandais encore. Elle me demandât de faire un 69 ce que j'aimais.
Nous avons baisé jusqu'à une heure avancée et nous nous sommes endormis sur le canapé, nus l'un et 'autre. Au réveil elle avait sa main sur mon sexe et cherchait encore des jouissances que je pouvais lui donner encore.
Le souvenir que j'en ai est son sexe en forme de tirelire, son silence pendant ses orgasmes et sa dextérité pour baiser. Je ne l'ai plus rencontré, peut-être lit-elle se récit…
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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