Vendredi 5 septembre 5 05 /09 /Sep 23:42
Rose et son copain Arnaud ont reçu la réponse concernant leur demande d'embauche, pour une place de moniteur dans un centre de vacances. La réponse est positive, ils ont rendez-vous Jeudi.
Ils sont reçus par le directeur, Monsieur B. Roger, très charmant, cheveux grisonnants. Il doit avoir une cinquantaine d'années.
Il leur fait visiter l'établissement, et les reçoit dans son bureau.
-Voilà, jeunes gens. Vous êtes toujours intéresses ? Demande Roger.
-Bien sur, répondent Rose et Arnaud.
-Très bien, vous commencez Lundi. On vous présentera vos groupes. C'est des enfants de huit à dix ans. Rien d'alarmant..
Les deux copains partent main dans la main, tout heureux de pouvoir gagner un peu d'argent.
-On va fêter çà au studio, propose Arnaud.
-Hum, je te vois venir, répond Rose. Tu veux me niquer.
Arrivé dans la chambre, ils se déshabillent, et se mettent au lit. Ils sont tout menu tout les deux. Rose a de tout petits seins, bien ferme. Par contre, Arnaud, par rapport à son corps, a une paire de couilles et une queue, qui, en érection est énorme.
-Je me demande comment ma chatte fait pour engloutir tout çà, fait remarqué Rose.
-Parce que, ta chatte aime les grosses queues. Si tu la sucais un peu.
Rose prend le gland entre ses lèvres. On voit sa langue taquiner le méat, puis elle avale la moitié de la queue avec des yeux remplis de gourmandises. Elle sent que Arnaud va venir.
Elle sort la queue de sa bouche, et la branle avec ses deux mains. C'est dire le calibre.
-Tu te régales salaud. Si tu voyais tes couilles comme elles sautent. Elles sont toutes gonflées. Allez, vas-y mon chat, crache.
-Ha..ha..ha salope, je joui, oui oui oua, suce mon gland, avale s'il te plait.
Rose reprend le sexe dans sa bouche, juste pour recevoir les jets de spermes au fond de sa gorge. Rose se lève, et place sa chatte sur la bouche de Arnaud.
-Tu me fais mouiller avec tes conneries. A toi de me faire du bien. Il n'y en a pas pouuur
longtemmmps. Ha..ha, oui oui, vas-y je jouiiii.
Elle s'écroule à côté de lui.
-Oh mon chéri, que c'était bon. Allez un peu de repos, poursuit Rose.
Dans sa tête, elle revoit l'entretien d'embauche. Elle trouve que le directeur avec un regard coquin, vicieux. Elle l'a trouvé très charmant.

On est Lundi. Le jeune couple est sur place. La journée finie, ils regagnent leur chambre mise à leur disposition. Il y a également un coin douche.
-C'est pas trop dur, dit Arnaud.
-Oui, çà va, répond Rose. Par contre, la nourriture, c'est juste.
-A partir de demain, je travaille à la réserve, dit Arnaud, j'essaierai de prendre des biscuits.
Le lendemain, au cours de sa pause, Rose rejoint Arnaud à la réserve. Il a préparé un sac avec quatre ou cinq paquets de biscuits. Rose prend le sac, et se dirige rapidement vers la sortie.
-Tu es bien pressée petite, dit Roger. C'est quoi dans ce sac ? Mais c'est du vol. A dix huit heures, je veux vous voir tout les deux dans mon bureau.
Rose et Arnaud se regardent.
-Qu'est ce qu'on va faire ? Demande Rose
-On verra bien ce qu'il va nous dire, répond Arnaud. On aura peut-être un blâme.
-On a trop besoin d'argent, poursuit Rose. On fera ce qu'il nous demande.
Le couple quitte la réserve les mains vides.
A dix huit heure, dans le bureau du directeur, le couperet tombe.
-Je ne peut plus vous gardez. Vous avez commis une faute grave. Je vais faire préparer votre solde.
-Mais, implore Rose, çà ne se reproduira plus. Ne nous renvoyez pas. Qu'est ce que vous voulez qu'on fasse pour se faire pardonner.
-On fera ce que vous voulez, confirme Arnaud.
-Et si je vous disais que je vais prendre du bon temps avec vous. Qu'est ce que vous diriez.
Arnaud et Rose baisse la tête, on l'air de réfléchir.
-Si vous voulez, tranche Arnaud
Rose prend son visage entre ses mains. Roger décide de profiter de la situation.
-A la nuit, venez me rejoindre, dit Roger. En chemise et sans rien dessous.
Le couple est au rendez-vous, dans la tenue exigée. Roger les attend assis sur une chaise.
-Montrez moi, demande-t-il.
Les deux jeunes soulèvent leur chemise.
-C'est bien, venez vous asseoir sur mes genoux, dos à dos ordonne-t-il.
Rose et Arnaud se mettent en place.
Roger passe une main sous la chemise de Rose, fait rouler le bout de ses seins entre ses doigts.
-Ils sont petits mais ils sont beaux, dit Roger.
Il glisse ensuite son autre main entre les cuisses de Arnaud.
-Putain, tu es monté comme un âne. On ne dirait pas à voir ta corpulence. Tu dois faire crier ta copine, salaud.
Roger lui saisit les couilles, et les fait rouler dans sa main. Entre temps, le bout des seins de Rose a doublé. Roger s'en aperçoit.
-Mais tu te régales, dit Roger, tu es une petite vicieuse, hein.
Rose lâche un soupir de plaisir. Roger descend sa main entre les cuisses de Rose.
-Ben, çà y est, constate Roger, tu vois que tu aimes.
-Oh oui, murmure Rose. Ma petite chatte est toute mouillée. Grattez moi mon clitoris aussi sortez le de sa cage. Ha...ha...ha.. Que c'est bon.
A entendre sa copine, la queue de Arnaud se dresse pour atteindre sa taille maximale.
Roger lui lâche les couilles, et saisit le membre, jouant avec la prépuce qu'il fait aller et venir sur le gland de Arnaud. Arnaud commence à gémir.
-Toi aussi tu te régales, demande Roger. Tu aimes te faire décalotter? Hein.
-Arrêtez, supplie Arnaud, vous allez me faire cracher. Voyez comme je bande. Je ne vais pas pouvoir me retenir.
-S'il vous plait, hurle Rose, continuez à gratter mon petit bouton, doigtez moi, j'ai envie,
Ha ha oui, je joui. Si tu voyais comme je me fais chatter mon chéri. Vous êtes un expert.
-Un expert tu dis, reprend Arnaud. Si tu voyais comme il me branle. J'ai le gland tout rouge.
Vous allez voir tout ce qui va sortir. Mes couilles sont pleines.
Roger joue aussi avec le méat de Arnaud.
-Putain, qu'est ce que vous me faites, ha..ha..hou oua décalotté moi bien, je crache oui oui
ha. J'aurai jamais cru qu'un homme me fasse jouir comme çà. Oh chéri, comme je me suis régalé.
- Vous êtes deux cochons tout les deux. Tu as vu jeune fille ce que j'ai fait avec ton clitoris et ta chatte. Et toi, jeune homme, tu as vu comme j'ai joué avec tes couilles et ta grosse queue. Vous vous êtes sacrifiés pour sauver vôtre emploi. C’est rare de nos jours. Je vous garde, mais attention, plus de conneries, d'accord.
Les deux jeunes sont debout devant lui.
-Oh merci monsieur, dit Rose, je peux vous embrasser.
Sans attendre la réponse, elle lui prend les lèvres, et les écarte avec sa langue. Pour l'atteindre, Rose a été obligée d'écarter ses jambes.
-Vous pouvez toucher ma petite chatte pour voir si elle est encore mouillée. Chéri viens glisser ta queue entre mes cuisses.
Arnaud obéit. Il place sa queue entre les fesses de Rose. Roger passe sa main sous la chemise de nuit, saisit le gland de Arnaud et le frotte contre le clitoris de Rose.
-Oh mon dieu, cette pute de chatte et se salaud de bouton qui se font encore avoir.
Rose s'est assise sur Roger. C'est elle qui guide ses mains sur son corps.
-Doigtez moi encore, dit-elle en sanglots, mon minou en veut encore. Et toi Arnaud, viens ici que je te suce. Tu te feras gratter les couilles en même temps.
-On pourra faire d'autre soirée comme çà, demande Arnaud, c'est trop bon.
-Pas de problème, répond Roger, tout les soirs si vous voulez. Mais là, on peut continuer.
Arnaud et Rose se regardent, et se replacent sur les genoux de Roger.
-Je suis prête, dit Rose. Regardez comme ma chatte est toute mouillée encore.
-Et moi, poursuit Arnaud, regardez ma queue comme elle bande.
-Je vais vous calmez, petits salauds, dit Roger en les caressant.

Ha ces jeunes !
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Vendredi 5 septembre 5 05 /09 /Sep 23:39
J'étais le petit fils du fermier et tous les étés je les passais chez mes grands parents.
En même temps, dans la maison bourgeoise du propriétaire les petits enfants venaient également passer les beaux jours.
Tous les soirs nous nous rassemblions et nous nous racontions des histoires. Laurence une belle brune aux yeux bleus me matait depuis un certain temps, son frère Jean, un an de moins, du même âge que mon frère était aussi de la partie.
Un soir, alors que le soleil prenait son temps pour aller se coucher, je m'étais mis en face de Laurence. Elle avait une petite jupe à plis à carreaux et dans les mouvements que je ne manquais pas je pouvais voir sa petite culotte blanche; Ce qui m'excitais fort.
Je crois qu'elle en abusait et m'en faisait voir plus à chaque mouvement. La lumière s'estompait et je me suis rapproché d'elle discrètement. N'y tenant plus j'ai osé poser ma main sur sa cuisse dénudée. Je m'attendais à prendre une claque, mais au contraire elle posa sa main sur la mienne, comme pour que je ne la retire pas.
Encouragé par ma tentative, ma main remonta jusqu'à sa culotte et je m'aperçus qu'elle écartait encore plus les cuisses. Les autres discutaient et ne faisaient pas attention à nous.
Le bout de mes doigts passa sur sa chatte en caressant le tissu fin et je sentis qu'elle était déjà mouillée. Elle ne disait plus rien, je glissais mes doigts derrière l'élastique pour atteindre sa chatte. Je l'entendais soupirer et sa respiration s'échappait par saccades. Mon majeur n'eut aucun mal à passer entre ses lèvres dégoulinantes de jus chaud. Son bassin ondulait légèrement et allait vers mon doigt. Mon doigt se promenait et allait taquiner le petit bouton raidi au sommet de sa chatte. Elle finit par arrêter ma caresse en bloquant ma main. J'ai cru qu'elle voulait arrêter, mais elle mit son index sur sa bouche en signe de faire silence et me fit signe de la suivre.
Nous prétextâmes que nos jambes avaient des fourmis et que nous allions faire quelques pas dans le chemin...
Nous nous éloignâmes et, dès que nous fûmes hors de vue des autres, elle m'attira brusquement vers une grange, y pénétra et referma la porte. Aussitôt, elle se jeta sur moi et me roula une pelle. En deux mouvements, elle s'était déshabillée et se retrouvait totalement nue. Puis très vite elle se mit à me déshabiller. Se mit accroupi pour baisser mon pantalon et se retrouva le nez face à ma queue en érection qui en passant l'élastique de mon slip faillit la gifler. Elle ouvrit grand la bouche et goba mon gland et le suça avec appétit. Je n'en revenais toujours pas : la fille du bourgeois me suçant ! ! !
Et elle suçait divinement la petite, me caressait les testicules et avec un doigt passait dans ma raie pour titiller mon anus. J'ai cru que j'allais jouir dans la seconde mais Laurence avait de l'expérience et la sentit... pour y remédier, du tranchant de sa main elle appuya sur mon périnée, ce qui pour effet de retarder la montée du jus. C'était divin.... Elle absorbait toute ma tige dans la bouche jusqu'au fond de sa gorge puis se retirait et aspirait mon gland rouge et tendu.
Je l'arrêtais à mon tour, la fit se relever, puis l'entraîna vers la meule de foin après avoir enlever les vêtements qui me gênaient. Nous nous embrassâmes fougueusement, pus elle redirigea sa bouche vers mon sexe et se tourna pour m'offrir sa chatte inondée. Goulûment je me mis à sucer cette corolle baveuse et divine et absorbais tout le jus qui s'en échappait. Ma langue fouillait son vagin, puis se retirait pour téter son petit clito raide. Je sentais sa bouche pleine de salive glisser sur ma hampe chaude. Ma langue furtive accéléra sa rotation et dans un gémissement à moitié étouffé elle prit son pied magnifiquement et continua sa suce majestueuse.
Lentement, elle s’appliquait à avaler mon membre... Elle se releva et vint s'assoire sur moi et guidant ma queue dans son vagin en feu. Violemment, elle exprima de grand mouvement du bassin et des cris de jouissance s'échappaient de sa bouche, puis pour la deuxième fois elle atteignit l'orgasme en hurlant... Au même moment je me mis à jouir aussi, lâchant tout mon sperme dans son ventre. Ses ondulements se firent plus calmes, jusqu'à l'immobilité. Puis, elle s'affala sur moi me serrant dans ses bras. Je serrais également son corps chaud qu m'avait donné tant de plaisir.
Nous nous rhabillâmes tous les deux et nous rejoignîmes les autres qui continuaient à discuter.
Tous les soirs nous nous retrouvâmes, et nous nous échappâmes de la même manière pour nous adonner à nos plaisirs sexuels. Mais ce premier soir restera inoubliable de tant de jouissances. Même si trois jours après elle me demanda de la sodomiser, mais ce sera une autre histoire à raconter...
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Mercredi 3 septembre 3 03 /09 /Sep 22:44
Laura était professeur d’histoire géographie dans un lycée d’une banlieue d’un quartier dit «difficile». Elle avait 28 ans, brune aux yeux bleus, cheveux longs, assez grande, et svelte, une assez belle femme, ce qui lui avait valu des débuts difficiles dans l’enseignement, mais elle avait réussi rapidement à faire valoir son autorité sur ces élèves. Ni trop gentille, ni trop méchante, elle avait trouvé le juste milieu, pour se faire respecter.
Elle possédait un certain charisme qui lui permettait de faire ses cours, et d’intéresser la plupart de ses élèves quand elle racontait certains périodes de l’histoire, elle savait capter leur attention, et cela se ressentait dans leurs résultats.
Malgré tout, il y avait toujours des récalcitrants, qui ne voulaient faire aucun effort, et n’en feraient jamais quoi qu’il arrive. Elle s’était habituée à cette idée, et se concentrait dorénavant sur ceux qui en valaient la peine. Une de ces classes était particulièrement difficile, du fait d’un élève surtout. Il s’appelait David, c’était le « chef » d’une poignée de jeunes, et il pouvait leur faire faire ce qu’il voulait. Il détenait une certaine aura auprès d’eux, et surtout des filles. Il en avait toujours 2 ou 3 qui le collait, et jamais les mêmes. « Pauvres filles !!» se disait Laura en elle-même. Elles étaient si naïves, toujours habillées de manières provocantes, avec des décolletés, et des minijupes, et un maquillage exagéré. « Que pouvaient-elles espérer de ce garçon ?? » pensait-elle.
Au cours de l’année scolaire, une nouvelle élève arriva dans la classe, elle s’appelait Sophie. Une petite brune assez jolie, bien élevée, et très brillante. Dés le premier jour, Laura remarqua rapidement le regard de David posé sur Sophie. Elle était à peine arrivée qu’il la convoitait déjà.
Plusieurs semaines passèrent et un jour qu’elle cherchait des manuels à l’intercours dans la petite salle conjointe à la salle de classe, elle entendit des voix dans la salle de classe. Elle jeta un coup d’œil dans l’entrebâillement et aperçut David et Sophie.
« Bon voilà je suis là, qu’est ce que tu veux David dit Sophie d’un ton assez énervé.
« J’ai envie de sortir avec toi ma belle…
« Arrêtes ça !! Je t’ai déjà dis que j’étais pas intéressée !!
« Attends de voir ce que j’ai à t’offrir avant …
Laura ne quittait pas la scène des yeux, et vit le petit sourire en coin de David.
« Je ne veux rien de toi !! Rétorqua Sophie. Je m’en vais d’ailleurs
Elle eut à peine le temps de se diriger vers la porte que David la retint par le bras violemment, l’entraînant près de lui.
« Arrêtes ! Tu me fais mal cria Sophie
« Regardes ça d’abord lui dit-il en souriant tandis qu’il déboutonnait son pantalon, et que son sexe jaillissait. Sophie en fut bouche bée, ainsi que Laura. Le sexe de ce garçon était vraiment énorme, plus de 25 cm au moins.
« Alors dit-il qu’en penses tu ma belle ?
Mais Sophie ne disait rien, elle fixait toujours le sexe imposant de David.
Il en profita alors pour se rapprocher d’elle, et prit sa main pour la poser sur sa queue. Sophie se laissa faire toujours tétanisée. Machinalement, elle se mit à faire des mouvements de haut en bas le long de sa tige.
« Oui, je savais que tu aimerais ça, vous êtes toutes les mêmes.
Il souriait, heureux de sa victoire. Laura n’osait pas bouger dans la pièce à coté, elle aurait pu, elle aurait du intervenir mais quelque chose l’en empêchait.
David posa les deux mains sur les épaules de Sophie, et la fit mettre à genoux, tandis que le branlant toujours, elle faisait non de la tête. Lorsque sa bouche arrive à hauteur de la queue, elle voulut dire non mais David profita qu’elle ouvrit la bouche pour lui enfourner. Elle essaya de se dégager mais David lui maintenait bien la tête. Il commença alors aller et venir dans sa bouche.
« Ouais, ta bouche est délicieuse comme je l’imaginais, tu vas aimer ma petite Sophie…. Oh mais tu aimes déjà ça je vois ricanait-il alors que Sophie faisait maintenant d’elle même une fellation à David. Elle essayait d’engloutir toute sa queue, mais elle était trop grosse, alors elle le branlait en même temps. Elle l’astiquait de plus en plus vite, passant sa langue sur le gland.
« Ouiii vas-y, fais moi jouir, on a plus beaucoup de temps. Une fois que t’as goûté mon sperme, tu verras, tu ne pourras plus t’en passer, tu seras toute à moi…
Sophie accéléra ses caresses buccales, et David lui maintint la tête tandis qu’il déversait dans sa bouche sa semence. Il retira sa queue, lui tint la bouche fermée, l’obligeant à avaler ce qu’elle finit par faire.
« Voilà Sophie, tu vois, c’était très agréable de me sucer, et tu verras ce n’est que le début. Je vais faire de toi ma tite chienne, comme les autres.
Sophie restait toujours à genoux devant lui se léchant les lèvres, et finit par nettoyer d’elle même la queue de David, qui se délectait de la voir faire. Puis il regarda sa montre.
« Bon faut y aller, la cloche va sonner. On continuera chez moi après les cours ce qu’on vient de commencer.
Il la releva, lui roula une pelle, et la prit par la taille en sortant de la salle. Au dehors, elle entendit ces potes le félicitait de le voir sortir ainsi avec Sophie.
Laura, hypnotisée par ce qui s’était passé, n’avais toujours pas bougée. Ce ne fut que quand la cloche retentit qu’elle se réveilla, et se dépêcha de finir de préparer ses affaires pour le cours suivant. Mais ces images allaient la hanter tout le reste de la journée, et bien plus…
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Mercredi 3 septembre 3 03 /09 /Sep 22:41
Harold, jeune black de dix ans, rentre de l'école en pleurant. Il se rend au jardin où sa mère
Angèle s'occupe des fleurs et du potager. Angèle est une black de quarante ans, ancienne gardienne de prison dans son pays. Un mètre soixante dix huit, quatre vingt kilos. Une force de la nature. Le genre de femme qu'on laisse tranquille. Divorcée depuis que son mari la surprise couchée avec son ex femme. De par ce qu'elle avait vécu en prison, elle était devenue bi sexuelle.
-Mais pourquoi pleures-tu mon chéri. On t'a battu, demande-t-elle ?
-Non, c'est la maman de Lucas qui m'a dit que si je ne rendais pas les billes de son fils, elle me donnera une fessée.
-Oh, ne t'inquiète pas, çà va s'arranger, répond Angèle. Je lui téléphonerai.

Lucas arrive de l'école, l'air triste.
-Que t'arrive-t-il encore, lui demande Estèle. Dis le à maman.
-C'est Harold, il ne veut pas me rendre mes billes, explique Lucas.
-Soit tranquille, je m'en occuperai demain, le rassure sa mère.
Estèle est une femme d'une beauté exceptionnelle, et elle le sait. Ses passes temps favoris sont le sport. La marche, la gym. Sa deuxième activité, le sexe. Increvable, malgré un mari très porté sur la chose. Une semaine que son mari était en déplacement, elle avait tenu tête à deux athlètes toute une nuit. Elle aime çà.

Le lendemain, Angèle profite d'une sortie en classe verte, pour appeler Estèle.
-Allo, bonjour, c'est Angèle, la maman d'Harold. Il n'arrête pas de pleurer depuis que vous l'avez menacé de lui donner une fessée. Tout çà pour des billes.
-Bonjour, répond Estèle d'un ton sec. J'ai autre chose à faire. Que vôtre fils rende les billes, sinon, je m'en occuperai personnellement, c'est compris.
-Mais, calmez vous, ce ne sont que des billes. S'il ne veut pas perdre, qu'il ne joue pas.
-Ecoute pouffiasse, je passe te voir demain matin. C'est toi qui va l'avoir la fessée si çà continue.
Cà raccroche. Angèle ne comprend pas. Elle pense tout haut.
"Tu vas voir ce qu'elle va prendre cette connasse. Je vais les lui mettre dans la chatte les billes. Elle me connaît mal".
Le lendemain, Estèle se prépare pour aller faire un peu de marche. Short ample, et bandeau sur les seins pour les tenir serrés. Elle fait une queue de cheval à ses longs cheveux blonds et s'en va. Elle dépose Lucas au bus.
"Tiens, à être là, si j'allais voir l'autre pouffiasse pour récupérer les billes" pense-t-elle.
Elle sonne chez Angèle.
-Oui, qui cela peut être. Je vous ouvre.
Angèle reste scotchée devant la beauté qui est sur le pas de la porte.
-Bonjour, arrive à dire Angèle.
-Je suis la maman de Lucas. Je viens chercher les billes de mon fils.
L'instinct lesbien d'Angèle ressurgit. Ce n’est pas les billes qu'elle mettrai dans sa chatte.
Estèle est rentré d'autorité, passant devant Angèle, qui ferme la porte. Estèle a à peine le temps de faire demi tour, qu'elle reçoit une paire de gifles qui l'envoie sur la moquette, les jambes écartées. Angèle remarque qu'elle n'a pas de culotte.
-Aie,aie crie Estèle une main sur son oreille. Cà ne va pas la grosse.
Elle se relève et se jette sur Angèle qui, d'un léger écart, se retrouve derrière elle. Elle l'a saisit par la taille et la soulève. Estèle est sur la pointe des pieds, en très mauvaise posture. Elle essaie de lancer ses bras en arrière, mais elle peut rien contre la force d'Angèle. Angèle la maintient dans cette position, uniquement du bras gauche. Elle passe sa main droite de l'autre coté de la taille, et enfile sa main dans l'échancrure du short.
Elle enfonce alors deux doigts dans la chatte d'Estèle.
- Lâche moi, crie Estèle, lève ta main de là. J'ai horreur de me faire toucher par une femme.
Elle se débat, mais Angèle la dirige vers le canapé. Toujours sur la pointe des pieds.
Estèle est menée aux doigts et à la chatte. Arrivé au canapé, Estèle tombe à genoux sur la moquette. Angèle en profite pour lui baisser le short jusqu'à ses chevilles. Angèle ne peut résister. De la main gauche, elle l'a maintient par le bandeau de sa poitrine, et de la droite, lui donne une fessée magistrale. Estèle hurle, pleure, implore sa tortionnaire d'arrêter.
-Aie, Aie, assez, assez. S'il vous plait, sanglote Estèle.
Angèle arrête de frapper, finit de quitter le short, et enlève même le bandeau qui tenait les seins. Estèle se retrouve toute nue. Elle se retourne légèrement. Ses seins jaillissent carrément au milieu du salon. Qu’elle est belle.
-Tu vois, dit Angèle, il est à peine dix heures du matin. Et bien tu vas rester toute nue, jusqu'à ce que le bus revienne. Et à partir de maintenant, tu me vouvoies, compris?
-Oui, dit Estèle.
-Oui qui, reprend Angèle.
-Oui madame, mais ne me faite pas mal. Ne me battez plus, implore Estèle.
-Oh que non, lui répond Angèle. Maintenant, je vais te faire que du bien. Il y a un moment que je n’ai pas jouer avec une femme comme toi.
Le téléphone sonne. Angèle attrape Estèle par la queue de cheval, la tire à quatre pattes vers le combiné, et s'assied.
-Allo. Tiens, mon neveu. Tu es arrivé quand Fred ?
-Il y a une heure. Je voulais passer te dire bonjour. C'est qui gémit, tu as un problème ?
-Non pas du tout.Passe me voir si tu veux. J'ai un excellent goûter pour toi. A tout de suite.
Et elle raccroche.
-Viens t'asseoir sur mes genoux, Ordonne Angèle. Que je m'amuse un peu.
Estèle s'assied sur les genoux d'Angèle, dos à elle malgré la douleur de se fesses.
Angèle passe ses mains autour de sa taille. Estèle a les jambes complètement écartées.
Angèle écarte ses lèvres, et commence à lui caresser la chatte, jouant avec son clitoris.
De l'autre main, elle prend les seins à tour de rôle, et fait rouler les bouts entre ses doigts.
-Tu ne serais pas entrain de mouiller, constate Angèle. Tu aimes çà, hein, tu te régales. Ton bouton est tout dur et enflé. Tu sens comme je le gratte bien, ce salaud.
-Que c'est bon, râle Estèle. Vous me faites du bien, continuez, branlez moi, sortez bien mon clitoris, allez-y. Je suis assez mouillée là. Je joui, oh oui, haa, oui, encore, oui oui.
Estèle a un orgasme qui n'en finit pas. Elle essaie de se tourner pour embrasser Angèle.
Impossible. Angèle sort ses doigts de la chatte d'Estèle.
-Tiens, ordonne-t-elle, goûte ta mouille de salope. Allez, nettoie tout.
Estèle obéit et lèche les doigts un par un. Angèle remet ses doigts dans la chatte d'Estèle, histoire de la maintenir en forme. Estèle gémit.
-Ha...ha...ha...ha...ha...
On sonne à la porte.
-C'est ouvert, rentre.
Un black de un mètre quatre vingt entre dans le salon. Fred est abasourdit par ce qu'il voit.
-Regarde ce que je t'ai préparé pour goûter, ironise Angèle. Cà te plait ?
Estèle, toujours entrain de se faire doigter, n'a pas l'air contre servir de dessert à ce beau black qui, d'après la bosse qui apparaît sur le short, semble bien monté.
-Mais tati, répond Fred, tu crois que le peux ?
-Elle est à toi, enfin, à nous, reprend Angèle, n'est-ce pas ?
-Oh oui, faites de moi ce que vous voulez, mais baisez moi. Ma chatte en veut encore.
Fred quitte son short, et avance son énorme queue vers la bouche d'Estèle, toujours entrain de se faire chatter par Angèle. Estèle prend la queue entre ses mains, décalotte le gland entièrement, tout en soupesant les grosses couilles.
-Mais vous allez me faire mal, dit Estèle.
-mais non, reprend Angèle. Prend le dans ta bouche, et taille lui une pipe.
Estèle absorbe doucement mais sûrement. D'abord le gland, puis toute la queue, jusque aux couilles.
-Tu vois bien, quand on veut, on peut. Vas-y maintenant, bien avec la langue. Voilà. Tu suces bien. Tu as intérêt d'avaler et de nettoyer, après.
Et çà vient de suite. Fred lâche sa semence au fond de la gorge, d'Estèle, puis sort doucement sa queue pour se faire nettoyer le gland. Dans un cri, Estèle jouit pour la seconde fois, branlée par Angèle.
-Regarde moi cette pute comme elle se donne. Un vrai corps à bite, dit Angèle.
Angèle l'a fait mettre à quatre pattes sur la moquette. Ils veulent encore en profiter. Fred se met à genoux derrière Estèle, sa queue face à sa chatte, et la pénètre. Estèle lance un cri de douleur, mais de plaisir aussi. Angèle, elle, a quitté son bermuda, et viens se mettre à genoux devant la bouche d'Estèle.
-Vas-y, dit Angèle en lui prenant la queue de cheval, suce moi.
Estèle est estomaqué par la taille du clitoris d'Angèle. Une vraie quéquette. Au moins quatre centimètres. Elle s'empresse vite de le prendre dans sa bouche. Un régal. Fred derrière accélère ses mouvements Angèle jouit la première. Un orgasme d'une force incroyable, ses cris résonnent dans toute la pièce.
-Oh, mon dieu, tu sens comme je me vide dans ta bouche, hurle Angèle. Petite pute, tu m'as fait jouir.
- Moi aussi, je crache, râle Fred. Cette salope me vide les couilles. Quelle chatte. Oh la bordille.
-Oh putain, çà fait trois fois que je jouis, pleure Estèle. Quelle queue, j'en veux encore.
Faites de moi vôtre pute, je suis à vous.
Les trois corps s'écroulent sur la moquette.
-Prenons cinq minutes, propose Angèle. Il n'est que quinze heures.
Estèle comprend qu'ils vont encore profiter d'elle. De s'amuser avec ses seins sa chatte, son petit bouton. Elle en mouille d'avance. Ils vont la baiser, la sodomiser, la faire jouir encore deux ou trois fois. Ils vont se faire sucer jusqu'à se faire vider complètement.
Encore trois quarts d'heure avant l'arrivée du bus. Estèle embrasse Fred à pleine bouche.
-J'ai l'habitude, dit-elle, mais on ma jamais baisé comme çà.. Angèle, je me m'allonger contre vous cinq minutes.
-Viens ma chérie, répond Angèle.
Estèle vient se blottir contre Angèle, lui prend la main, la promène sur son corps, des seins à sa chatte.
-Tout çà vous appartient, dit Estèle. Je vous offre mon corps.
-Quand je t'appelle pour passer à la maison, j'espère que tu viendras. Que je ne sois pas obligé de venir de ramasser à l’école. Ne m’oblige pas à te donner une fessée devant tout le monde.
Et de venir en tenue adaptée, toute nue dessous. Tu sais pourquoi tu viens, compris ? Tu vas voir comme on va passer des bons moments toutes les deux, dit Angèle…
-Je ferai tout ce que vous voudrez, répond Estèle. Mais ne tardez pas trop à m'appeler.
-Tu peux m'appeler Angèle, maintenant, et tu peux me tutoyer.
-Merci, et à bientôt, dit Estèle en sortant.
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Mercredi 3 septembre 3 03 /09 /Sep 22:40

Bonjour à tous ! Je suis une femme ronde qui assume. Pour palier au manque d’amour physique j’ai un catalogue de fantasmes que je fais fonctionner tous les jours pour satisfaire une libido débordante. Parmi tous un revient régulièrement, mon préféré. Je vais vous le faire partager.
J’ai rendez-vous ce soir chez mon médecin pour un mal de dos. Il est plutôt bel homme, grand, châtain, corps de sportif. Au bout d’un quart d’heure d’attente c’est à mon tour.
- Que vous arrive-t-il ?
- J’ai très mal dans les reins, lui répondis-je.
- Avez-vous porté quelque chose de lourd ou fait un mouvement brusque ?
- Non, docteur.
- Très bien. On va regarder ça. Déshabillez-vous et allongez-vous sur la table, sur le ventre.
Une fois fait, il commence son examen. Il a les mains très douces et appuie exactement où ça fait mal. Je ne suis pas du genre douillette mais là je ne peux pas retenir un cri de douleur.
- Ok. Je vois. Belle lombalgie. Je vais vous masser un peu et vous aurez des séances chez le kiné après.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Il commence. Il faut savoir que sur moi, les massages ont toujours un effet aphrodisiaque et ont tendance à faire venir le plaisir. Je commençais à être troublée. Il s’en aperçut et fit mine de rien.
- Je descends votre slip pour avoir tout le rein.
Je me soulevais légèrement pour l’aider. Je sentis alors ses mains sur mes fesses. Il commençait à me les pétrir franchement.
- Là aussi il faut que ça soit massé pour que ça aille mieux, dit-il en me mettant un doigt dans le vagin. Surtout que c’est très étroit. Il y a longtemps que vous n’avez pas baisé ?
- Plusieurs mois. Oh oui !
J’étais comme un pantin alors qu’il faisait bouger son doigt. Il s’arrêta d’un coup et je gémis de frustration.
- Je suis sûr que ça vous manquait. Voyons si vous savez encore sucer, me dit-il en approchant sa bite aux belles dimensions au niveau de mes lèvres.
Je me redressais en me tournant légèrement. Je lui pris sa queue entre mes doigts et l’engloutit en entier. Je descendis tout doucement le long de la verge et la ravala d’un coup
- Oh oui ! C’est trop bon ! Putain ! Continue !
Il venait de crier de plaisir vaincu par ma cadence. Pendant que je m’occupais de son chibre je sentis un doigt re-rentrer dans mon sexe
- Hum ! Soupirais-je. J’adorais.
- Oui ! Tu aimes ça, coquine ! Ca te manquait ! Tu retrouves les bonnes sensations. Tu aimes te faire doigter, avoue !
- Oh oui ! Oui, docteur ! Encore !
- Tu vas voir tu vas aimer la suite.
Il alla à mes pieds et me tira jusqu’à ce que je sois d’équerre avec la table. Il m’écarta les jambes en glissant une main entre mes cuisses. Il me saisit les chevilles et me fis glisser de façon à avoir les jambes qui forment un angle droit avec la table. Il me repelotta les fesses en insérant un doigt dans ma raie.
- Putain ! Tu mouilles….
Il me saisit les hanches et sans ménagement d’un coup de rein violent, s’enfonça en moi, je criais :
- Oh ! Putain de merde ! Aïe ! Ca fait mal ! Arrêtez !
- Oh non ! C’est trop bon ! T’es trop serrée ! Tu ne t’es pas fait sauter pendant des années, hein ? C’est bon ? Tu aimes ? Tu la sens bien ma grosse bite ?
Je devais avouer que sentir ce manche ramoner mon cul, était excellent. Je le sentais aller et venir, glisser en moi.
- Oh oui ! Encore ! Baise-moi ! Ça fait trop de bien ! Oui ! Oui ! Encore ! Plus fort !
- Tu aimes ! Tiens ! Han ! Han ! Oui !
On gueulait comme des bœufs, au bout de vingt minutes de baise intense, il éjacula en moi d’un dernier coup de rein violent qui me scotcha à la table.
Depuis ce temps là, dans mes rêves, on recommence plusieurs fois par semaine.
Bon fantasme à tous et toutes !

Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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