Samedi 11 octobre 6 11 /10 /Oct 15:59
Julie, jeune et jolie femme de vingt ans, est mariée avec Rémi depuis deux ans. Elle est assise sur le canapé, perdue dans des pensées érotiques. Elle sent une chaleur envahir
son bas ventre.
"Qu'est-ce- qu'il m'arrive, se dit-elle"
L'envie est trop forte. Elle quitte son string, remonte sa mini-jupe autour de la taille, écarte
ses jambes, et commence à se caresser. Elle fait courir ses doigts le long de sa fente.
Elle commence à mouiller. Elle se met à parler toute seule.
-Oh, ma petite chatte, tu es toute mouillée, tu te régales quand je te caresse, hein? Je vais
te faire du bien, tu vas voir comme tu vas aimer.
Elle remonte plus haut sur les lèvres, jusqu'au clitoris.
-Et toi, mon petit bouton d'amour. Tu veux que je te décalotte, que je joue avec toi, petit salaud.
Elle fait tourner un doigt plein de mouille sur son clito, jusqu'à ce que, n'en pouvant plus,
elle se mette deux doigts dans la chatte pour se branler violemment.
-Ha..ha...ha, que c'est bon, vous vous régalez, hein? Oui, ouiii, Rémi sait pas vous
caressez comme çà. Je chercherai quelqu'un pour s'amuser avec vous. Ho oui, on
le refera encore quand on sera seul.

Le lendemain, Julie admire son corps superbe dans la glace du placard de la salle de bain
-Vous y avez pas eu droit vous hier, dit-elle en se caressant les seins.
Elle fait rouler les bouts entre ses doigts, ce qui provoque une excitation de tout son corps.
-Oh, ma mounette, çà ta plu hier, tu veux que je te chatte. Salope, comme tu mouille, tiens
régale toi.
elle prend un pinceau à maquillage, et le passe sur son bouton entièrement sorti de son capuchon.
-Oh le con, que c'est bon, j'aurai jamais cru, je t'irrite là, comme tu bandes , petit vicieux.
Mais son corps réclame d'avantage. dans le tiroir, elle trouve une cartouche de dentifrice,
la taille d'une queue. Elle prend également une grosse brosse ronde.
Elle écarte ses cuisses, et enfonce la brosse dans sa chatte. Elle l'a fait aller et venir, tout
en la faisant tourner. Les poils de la brosse dans son vagin, ont un effet immédiat.
-Oh, pourquoi n'y ai-je pas penser avant. Mais c'est mieux qu'une queue. Profites-en ma
chatte, laisse toi faire. Et toi, mon petit bouton, tu te régales aussi. Et mon petit trou, il en
veut lui?
Elle saisit la cartouche de dentifrice, la barbouille de mouille. Elle se met à quatre pattes,
les fesses en l'air, face à la glace.
Lentement, la cartouche disparait dans son anus. Elle tourne la tête pour voir la scène.
-Mais je suis une vrai pute, gémit-elle.
Elle se met sur le dos, jambes en l'air, bien écartées, et fait aller et venir les deux objets
au fond de ses entrailles.
l'orgasme est puissant, les jets de liquide giclent sur la glace et sur le sol. Julie, en pleurs
hurle sa jouissance.
-Ouiiiiiiiii, je me vide, je joui, oh putain, que m'arrive-t-il, je suis une vrai bordille. Rémi,
regarde ce que tu m'oblige à faire, ha...ha..
Julie, épuisée, passe une veste peignoir, et viens s'allonger sur le canapé.
C'est à ce moment qu'on sonne à la porte. Elle regarde pat la vitre.
"Merde, je l'avais oubliée , elle, la représentante en cosmétique".
-Bonjour, dit Julie, çà va?
-Merci, çà va. J'ai eu un petit souci avec ma voiture, je peux utiliser vôtre salle de bains?
-Je vous en prie, répond Julie.
Annie repaire la cartouche et la brosse toute gluante. Elle avance son nez, et ressort de la salles de bains en souriant. Elle s'approche de Julie, et lui plaque une main sur les fesses
par dessous le peignoir.
surprise, Julie écarte légèrement les cuisses. La main d'Annie s'engage d'avantage
jusqu'à se trouver en contact avec la chatte de Julie.
-Mais elle est en chaleur, la vicieuse, fait remarqué Annie, elle est toute mouillée.
Annie quitte le peignoir, et oblige Julie à s'allonger sur la table, jambes écartées
entièrement offerte.
-En parallèle, poursuit Annie, je représente des gadgets érotiques. Vous voulez voir?
Prête à faire n'importe quoi, Julie accepte.
La panoplie est impressionnante.
-Voici le dernier gode à la mode, propose Annie, extensible de quinze à vingt cinq
centimètres.
Annie engage le gode dans la chatte de Julie, et le fait progresser lentement. Julie gémit
de plaisir.
-Ben, dit dont, dt Annie, elle a tout avalé.
-Branlez moi, s'il vous plait, supplie Julie, c'est bon d'avoir un gros machin dans la chatte.
Décalottez mon bouton et grattez le, j'ai envie de jouir. Ha...ha..ha.., encore, je viens, oui
continuez, je joui, oui....ouiiii
-Tu veux que je m'amuse avec toi? demande Annie.
-Oh oui, avec mon petit trou aussi. Tu peux tout me faire.
Annie sort un gode un peu moins long, et l'enfonce dans le cul de Julie.
-Putain, comme tu m'encule, hurle Julie, que c'est bon de se faire prendre par les deux
trous. Je viens, tu me fais encore jouir, salope. Tu en profite, hein? Tu sens que j'aime
çà. Je coule, ma pute de chatte coule,ha...ha .
-Mais tu es une petite putain, toi, ironise Annie. Tu veux que je revienne demain, j'ai des
tas de trucs à te montrés.
-Oh oui, implore Julie, s'il te plait, viens me niquer. tout les jours. Si tu veux, je serai ton
esclave sexuel.
-En attendant, poursuit Annie, suce çà.Tu sais ce que c'est. C'est ta cartouche de dentifrice
pleine de mouille. Comme çà, tes trois trous sont pris. Allez, à demain.
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 11 octobre 6 11 /10 /Oct 15:57
Un an environ après ma séparation avec Patricia une très belle femme de 36ans qui m’a quitté en me disant simplement ’’ Que veut tu que je fasse avec ta petite bite de lope , moi il me faut des males des vrais !’’ J’étais anéanti , mais elle avait raison en plus de mes tendances homo , j’avais une nouille ridicule entre les cuisses.
Un soir que j’avais le bourdon je décidai d’appeler Sophie, une belle grande blonde aux formes généreuses assez autoritaire qui m’avait toujours attiré pendant ma jeunesse, et je savais qu’elle venait de divorcer .Elle accepta avec joie mon invitation à diner , ce soir la elle apparu avec une jupe droite au dessus du genoux un très joli haut et des bottines sur ses bas noirs sublimes, cela la rendait très dominatrice.
Après un repas bien arrosé , je l’invitais sur le canapé pour écouter de la musique et là je me mis a la caresser , je savais que Sophie avait un tempérament de feu !’’ Ouiiiii vas y , branle moi , bouffe moi la chatte mon salaud ! ‘’
Je m’exécutai avec fougue quand elle entrepris de vouloir baisser mon pantalon , la le rouge me monta aux joues .
‘’ C’est quoi ce petit bout de bite minable ! Tu m’a fait reluire pour ça ??’’ ‘’je comprend pourquoi Patricia est partie pauvre impuissant , que veux tu faire avec ton zizi de lope ?’’ dit t’elle en riant aux éclats.
Et moi de répondre’’pardon Sophie , mais j’avais tellement envie de te toucher les seins et les fesses que jj’admire depuis longtemps, si tu veux je ferai tout ce que tu voudra , mais n’en parle à personne s’il te plait’’
Elle me sourit en me disant que c’était pas grave en me caressant mes petites couilles ‘’ tu veux jouer c’est ça ?’’ ‘’ oui ‘’ repondis je en baissant les yeux.
‘’ met toi a poil et vite cocu !et désormais tu m’appelle Maîtresse ! ‘’ je m’exécutai et du me mettre à genoux devant elle , afin de lui lécher la chatte, jusqu’à ce qu’elle gémisse de plaisir.
‘’ Je sens que l’on va bien s’amuser petite lope, et dire qu’autrefois tu jouais les machos !’’ J’avais honte mais continuais à lui brouter la chatte consciencieusement.
Elle me fit mettre à plat ventre sur ses genoux en me pelotant les fesses et en les claquant, de l’autre main elle prit ma petite nouille et la tripota avec deux doigts en me disant ‘’ Si on m’avais dit ça il y a quelques jours ‘’ elle avait l’air d’y prendre du plaisir ( et moi aussi).
Elle décida de rester pour la nuit , et me fit avouer mes penchants homo soumi, je du lui faire voir mes sites sur le net et mes photos en trav. Elle était écroulé de rire et me demanda ‘’ t’as vraiment une tenue comme ça salope ?’’ ‘’ oui Maitresse’’ répondis je honteux.
Elle se leva et me toisa de ses yeux fonçés ‘’ Demain après midi , je te veux dans cette tenue , ta mini jupe ras des fesses , bas résille noirs, tes escarpins de salope , ta perruque brune et surtout CUL NU ! Comme une chienne ! ‘’
Le lendemain j’étais en tenue lorsque j’entendis la voiture de ma Maitresse arrivé, je me tenais le dos tourné lorsqu’elle est entrée .
‘’ Bien ma salope ! Mais c’est que ça te va bien en plus ! , tu trouve pas Yanis ?’’ à cet instant mon cœur battait à tout rompre , elle n’était pas seul ! Et en me retournant j’j’apercu Yanis que je connaissais bien c’était l’amant de ma femme ,la honte était à son maximum.
Toute la soirée j’ai du les servir , pendait qu’il baisait Sophie me fit remarquer ’’ Regarde petite bite ce que c’est qu’une vraie queue’’ en brandissant le chibre de Yanis !
Elle prit ma nouille sous ma mini jupe en me demandant de me trousser et compara , les rires allaient bon train. Sophie d’un air vicieux me dit ‘’ Allez salope viens sucer la bite de celui qui baise ta femme , c’est tout ce qu’une fiotte comme toi peux prétendre ‘’ A genoux , jupe troussée , je me mis à pomper cette grosse bite de male avec gourmandise , en pensant que je suis en train de sucer celui qui m’a piqué ma femme , mais comment se faisait t’il qu’elle n’était pas là ?
La réponse ne se fit pas attendre un coup de sonnette retentit , je voulu me lever mais Sophie m’m’erre brusquement ‘’ Continue petite bite , je vais ouvrir’’ ce qu’elle fit , et là je reconnus aussitôt la voix à l’entrée c’était Patricia ! Les filles se sont mis à rire en me voyant sucer l’amant de ma femme ‘’ Tu es vraiment une lope petite bite ! J’étais sur que tu aimais sucer des bites comme une salope , mais de la à t’habiller en pute ! ‘’
‘’Vas y mon chéri encule là cette chienne qu’on rigole avec Sophie ‘’ continua t’elle.
Je fus mis à plat ventre sur la table et Yanis forca ma chatte de salope en me claquant les fesses , pendant ce temps la Sophie s’asseya sur la table pour que je lui leche son minou trempé, et Patricia se pencha prit ma petite bite entre deux doigts et la branla en riant ‘’ Alors petit pédé , c’est bon d’avoir une grosse bite de vrai mec dans le cul ? Hein ? Allez fais cracher ta nouille ridicule lopette ‘’

Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Samedi 4 octobre 6 04 /10 /Oct 12:29
Est-ce seulement possible de transcrire les sensations que j'ai pu ressentir lors de cette soirée? Sincèrement, j'en doute. Je vais pourtant essayer, rien que pour vous. Quant à la raison, ou devrais-je dire la folie, qui m'a poussé à vous conter cette expérience – d'apparence banale – plutôt qu'une autre, elle est on ne peut plus simple. Il me suffit d'y penser, ne serait-ce qu'une toute petite seconde, pour que mon être soit tout feu tout flamme, pour que mon sexe s'embrase. Mais ceci est une autre histoire, commune à beaucoup de personnes...

Passé cette introduction, vous devez certainement vous demander quelle est la signification de ce titre un peu (beaucoup) ambigu. Sachez cependant que vous l'apprendrez à la fin du récit ou, pour les meilleurs d'entre-vous, que vous le devinerez. Après vous avoir fait quelque peu languir, du moins j'ose l'espérer, il est temps pour moi de commencer mon histoire.

J'étais en terminale. Cela remonte donc à l'année dernière. À vrai dire, c'était il y a quasiment un an jour pour jour, peu avant le baccalauréat. Nous étions une joyeuse petite bande, tout le temps fourrés ensemble. Que ce soit au lycée, en ville, à la plage, ou lors de petites fiestas entre ami(e)s justement. Il est important, je crois, de vous présenter celle qui est encore aujourd'hui au centre de mes fantasmes, desquels résultent inévitablement une masturbation passionnée. Je vais l'appeler J., d'une part pour conserver son anonymat, d'autre part dans l'espoir qu'elle se reconnaisse si un jour elle parvient jusqu'à ce message. J. faisait partie de la bande dont je vous ai parlé un peu plus haut. Elle était dans le même bahut que moi depuis le collège. Je n'ai cependant appris à la connaître qu'en terminale grâce à un copain qui sortait avec l'une de ses amies. Et par la même occasion à la désirer. Elle n'était pas spécialement belle, elle était ronde, mais elle avait ce je ne sais quoi d'attirant, ce truc « animal ». Malheureusement, elle était déjà prise. Ce n'est qu'à la fin de l'année scolaire que la chance me sourit enfin, elle et son ex avait rompu. En outre, il y avait une fête prévue chez un copain le soir même.

Cette soirée débuta comme tant d'autres, avec des jeux de beuveries. Je dois dire que ça m'a surement aidé. Entre deux verres, nous voilà tous sur la piste de danse à nous déhanchés comme ce n'est pas permis. Malgré le fait qu'il y avait deux autres filles, les garçons ne tournaient qu'autour de J.. Elle était littéralement prise en sandwich entre un ami et moi. Ses fesses ondulèrent dès le début contre mon entrejambe, alors que je la tenais par taille. Advint alors ce qui devait arriver, une érection phénoménale. Je pense qu'elle le sut instantanément car elle tourna la tête vers moi avec un regard pétillant et un sourire mi-amusé mi-gêné. Elle pivota alors sur elle-même pour me faire face. Elle continuait à danser, alors que mes mains partirent épouser le galbe de ses fesses pour les malaxer. Et là, je ne sais même plus qui a fait le premier pas, nous nous sommes embrassés goulument. La fiesta ne faisait que commencer. Je l'entraina dans la pièce d'à côté, m'assis sur une chaise, pour qu'elle puisse venir sur mes genoux. Elle se rapprocha d'entrée de jeu le plus qu'elle put, et ondula lascivement sur ma bosse proéminente tandis que l'une de mes mains caressait la raie de ses fesses. C'est à cet instant que la bande décida qu'il était l'heure de se coucher. Les matelas étaient disposés les uns à côté des autres dans le salon. Le nôtre était en plein milieu.

Un couple d'ami s'allongea à ma gauche. J. retira son top, le dos tourné, pour enfiler une chemise de nuit. Elle enleva ensuite son pantalon, puis s'installa à ma droite. Pour ma part, je n'avais enlevé que ma chemise pour ne pas paraitre suspect vis-à-vis des autres. Deux amis s'installèrent à sa droite. Le couple s'endormit aussitôt, les deux garçons peu de temps après. Nous pouvions enfin commencer, il était temps. Nous étions fous de désir.

J. se serra contre moi, sa jambe droite par-dessus ma jambe gauche. Alors que nous nous embrassions, cette même jambe caressait la mienne et venait parfois s'appuyer contre la bosse de mon jean. Ma main gauche effleura son visage, son épaule, pour venir caresser l'un de ses seins, le soupeser tendrement, pour tenter de deviner où se trouvait précisément le téton. Mes doigts s'aventurèrent alors sur ses cuisses, pour pénétrer sous la chemise de nuit afin de retrouver immédiatement le sein de J.. C'est alors qu'elle se redressa précipitamment pour retirer son soutien-gorge, avant de me souffler à l'oreille :
« C'est plus pratique comme ça... Continue... »
Ma main parcourut alors le même chemin pour s'emparer de nouveau de son sein. Un soupir de plaisir s'échappa alors de nos deux bouches. Pour la même raison, sentir la peau de l'un toucher celle de l'autre à un certain endroit. Sans soutif, mes doigts trouvèrent sans aucun mal le téton qu'ils tentaient de deviner auparavant. Mon pouce réalisa alors de petits ronds, tantôt légers tantôt appuyés. Ma main redescendit alors pour soulever la chemise de nuit jusqu'à dévoiler ce même sein. Ma bouche se posa alors tout naturellement dessus, emprisonna le téton pour le suçoter, l'embrasser, le lécher. Ce manège continua un moment, avant que ma main ne décide à explorer une autre partie de son corps. Elle se déposa sur l'entrejambe de J.. Son string était trempé. Une surprise de taille m'y attendait car je sentis la protubérance d'un clitoris de taille peu ordinaire. C'est alors qu'elle poussa un gémissement de plaisir un peu plus fort que les autres qui réveillèrent le couple à ma gauche.
« Oh, vous êtes ensemble? Trop cool! Hé, m'amour, regarde ils sont ensemble! »
Inutile de préciser que nous étions rouge de honte, et d'excitation. Heureusement, ils n'avaient rien remarqué et s'endormirent de nouveau assez vite. Ma main n'avait pas bougé de place. Ma main commença alors à frotter l'entrejambe de ma partenaire, insistant plus particulièrement sur cette bosse très attirante.
« Mmm, c'est bon... J'ai envie de toi... », me souffla-t-elle à l'oreille entre deux râles.
Ni une, ni deux, je passe ma main sous l'élastique de son string pour rencontrer ce fabuleux clitoris. Cette fois, mon majeur s'occupe essentiellement de ce petit bouton d'amour, l'effleurant, appuyant dessus, dessinant ses contours. Brusquement, il descend pour écarter légèrement les grandes lèvres du sexe de J; de haut en bas. Je retire alors ma main, ma partenaire me regarde d'un air déçu qui se transforme en un air à la fois amusé et excité. En effet, je venais de porter mon doigt à la bouche pour goûter ce jus que j'affectionne tant. Je l'embrasse alors avec fougue, lui faisant (re)découvrir sa mouille. Je lui glisse alors à l'oreille :
« C'est mon p'tit pêché mignon, j'adore... Et avec toi, c'est encore meilleur. »
C'était la pure vérité, elle avait un goût... Miam, sucré. Ma main s'aventure alors de nouveau sous son string et écarte de nouveau ses grandes lèvres de haut en bas, de plus en plus.
« S'il te plaît... » Dit-elle alors en retenant son souffle.
Mon majeur la pénètre doucement, profondément, tandis qu'elle ne peut retenir un long râle de soulagement. Il ressort petit à petit, caressant la paroi vaginale antérieure de J.. Ce qui ne manque pas de la faire défaillir de plaisir. Il rentre une nouvelle fois, aussi doucement que la première. Une fois à l'intérieur, il titille cette fois assurément la partie antérieure du vagin.
« Mmm... Tu es un... Monstre... Je te veux... »
La main de J., jusque là posée sagement sur la bosse de mon pantalon, défait le bouton de celui-ci, ouvre la braguette, et tente de s'emparer de ma verge tendue. J'esquisse alors un mouvement de recul.
« Tu as les mains froides..., lui dis-je.
Plus pour longtemps, me répondit-elle du tac au tac. »
Sa main s'empara prestement de mon pénis, et coulissa jusqu'à me décalotter. C'est alors qu'elle eut un geste qui manqua de peu de me faire jouir : elle caressa de son index mon frein. Le contact du froid, quelle sensation exquise. Ses doigts habiles recueillirent un peu de pré-sperme pour en enduite ma tige. Elle commença alors un délicat mouvement de va-et-vient. La couverture se soulevait en rythme. Elle me décalottait entièrement, avant de caresser de sa paume mon gland gonflé de plaisir. Elle répéta son oeuvre autant de fois que mon doigt la pénétrait.
« Mmm, c'est si booon... J'ai envie de toi, lui murmurais-je.
Pas... Mmm... Ici... Mais, je ne peux pas... Attendre demain. »
Elle se leva alors, délaissant ma bite pour mieux trouver ma main sur son sexe afin de s'en emparer. Elle m'entraîna prestement dans la cuisine, saisissant au passage deux à trois préservatifs dans son sac à main. Après avoir poussé la porte, je la plaque contre le plan de travail tout en m'accroupissant afin de me retrouver nez à nez avec sa chatte. Elle ne se rasait pas, mais n'avait pas une toison affolante. Parfait. Mes lèvres se refermèrent sur ce clitoris hors-norme pour le suçoter avec avidité.
« Oooh, nan... Pas ici... Je veux dire, on va nous... Surprendre, me dit-elle avec difficulté. »
Je me redresse alors, après lui avoir prodigué une rapide léchouille sur la fente qui manqua de peu de la faire crier, et l'entraîne hors de la cuisine. Un seul endroit que l'on peut barricader, tout en prétextant faire autre chose : les toilettes. À peine entrée, J. retire sa chemise de nuit, me dévoilant une lourde poitrine, désirable. Elle se presse alors contre moi et me retire mon pantalon, suivit de mon boxer. Elle reste alors accroupit pour regarder à loisir mon pénis pris d'une incroyable érection. La plus forte que j'ai jamais eu je pense. Elle se relève, ferme le capot des WC, s'y asseoit et écarte au maximum les jambes. Enfin! Ce que je préfère! Mes mains se déposent sur les cuisses de ma partenaire, tandis que mon visage s'approche de son entrejambe. Idem que peu de temps auparavant, ma bouche s'empare de ce clitoris que j'ai appris à tant désirer. Je l'embrasse tendrement, mais en appuyant dessus fermement. Ma langue délaisse alors cette protubérance pour contourner les grandes lèvres de sa chatte. Elle resserre ses petits ronds à chaque tour, si bien qu'elle arrive entre ces deux minuscules collines. Ma langue se raidit alors pour effectuer des mouvements de va-et-vient, pénétrant un peu plus à chaque fois. Une fois le maximum atteint, j'embrasse son vagin comme j'aurais embrassé J.. Elle laisse échapper plusieurs petits cris successifs. Peu importe que nous soyons découvert, nous sommes tellement excités! Elle pose alors ses mains sur ma tête, pour l'attirer le plus possible contre son sexe ruisselant. Au bout d'un moment, elle me repousse tendrement, se lève, et m'invite à faire de même. Elle prend alors une capote, déchire l'emballage, et la tient d'un air coquin mais embarrassé.
« Je peux te la mettre? J'adore ça...
Si tu veux »
Ses doigts caressent alors mes testicules, puis ma verge turgescente, me décalotte, caresse mon gland avec la paume de sa main comme sur le matelas, puis me l'enfile. Nous échangeons alors de place, je m'asseois sur le capot des toilettes, et elle s'installe sur moi, sans lâcher ma queue. Elle guide alors mon sexe contre sa chatte, le fait pénétrer légèrement, plusieurs fois de suite, avant de venir littéralement s'empaler dessus. Commence alors une longue chevauchée, au cours de laquelle nous nous embrassons, nous poussons de longs râles de plaisir tant attendu. Un détail dont je me souviens, et que j'affectionne particulièrement encore aujourd'hui, c'est le bruit que produisait notre union. Clap, clap. Le bruit de mon sexe bas-ventre percutant son sexe ruisselant de mouille. Clap, clap. Et l'odeur de sa cyprine, je m'en souviens encore. Miam. Après je ne saurais dire combien de temps, elle atteignit un orgasme prodigieux, renversant sa tête en arrière, son vagin resserant par à-coups mon sexe emprisonné. Si bien que je me sentis également prêt à venir. Elle se redressa rapidement, me mit debout, se mit à genoux, et commença à me masturber frénétiquement. Elle me décalotta, et pris mon gland en bouche. C'est alors qu'elle aspira fortement, petit à petit, tout en continuant les va-et-vient. C'est à cet instant que j'éjacula. Elle le sentit, se retira un peu, me présentant sa poitrine. Elle tapota mon gland sur ses seins, étala le sperme, et me sourit... Ce sourire je m'en souviens également...
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 25 septembre 4 25 /09 /Sep 10:22
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Jeudi 25 septembre 4 25 /09 /Sep 10:02
L'autre jour, je rangeais la cave au restaurant où je travaille, j'ai 25 ans, je fais ce métier depuis 2 ans, le patron est venu pour m'aider, un gars d'une quarantaine d'années, marié, 1m80, mince mais musclé, on rangeaient la nouvelle livraison de vin et il a débouché un grand cru pour le goutter, pas mal le vin, ça nous a égaillés et on s'est mis à déconner sur les femmes puis le sexe, à un moment où j'était penché en avant à ouvrir des caisses, il m'a mit la main aux fesses en riant et en me disant que j'avais un joli petit cul, j'étais un peu gêné mais comme ont rigolaient, je n'ai rien dis mais il a recommencé et la , il m'a massé les fesses plus fermement en me disant que si je voulais, il pourrait me sucer, nous étions à la deuxième bouteille de dégustation et une certaine langueur me poussait à me laisser aller.
Je lui dis quand même que je ne suis pas homo, il me répond, pas besoin pour se faire du bien et il me saisit le paquet à pleine main, je ne sais pas si c'est l'intimité du lieu, le vin ou ses caresses, mais je me mets à bander.
- Tu n'es pas homo mais tu as l'air d'aimer ce que je te fais?
- Je crois que c'est le vin, lui dis-je
Il ouvre mon pantalon, le baisse et se met à fouiller dans mon slip
- Tu as l'air bien monté me dit-il en me massant le sexe et les testicules
Je bande de plus en plus et il sort ma queue en s'agenouillant à mes pieds, il la regarde, la lèche sur toute sa longueur et baisse mon slip.
- Beau morceau que tu as là, tu sais que tu pourrais me faire plaisir
- Comment ça patron, je n'ai jamais....
- comme avec les femmes, tu me fais comme tu leur fais, tu as déjà pris la petite porte avec elles, non?
Il me branle doucement, sans décalotter en massant mes couilles, j'ai envie de me faire sucer, mais quand même, un mec
- Oui bien sur, mais je ne suis pas....
- Je sais, ferme les yeux, pense à une femme et laisse toi faire, tu vas aimer
Il m'embouche et me décalotte avec ses lèvres, la vache que s'est bon, il descend jusqu'au pubis et remonte
- Tu sens la pisse, ça m'excite et il se remet à me pomper, il le fait bien et en fermant les yeux, je crois être sucé par une copine, il a passé une main derrière et me pelote les fesses puis ses doigts glissent dans ma raie, je me contracte sous l'attouchement
- Tu es puceau du petit trou, me demande t'il?
- Ben oui
- Pas moi, me répond t'il, tu veux pas me la mettre?
- Patron, c'est gênant
Il se retourne quand même, prend appuis sur une pile de caisses et me tend ses fesses
- Viens, met la moi, une belle tige comme cela, tu vas bien me ramoner et d'une main, il s'écarte les fesses pour me montrer le chemin de son anus, sa raie est velue et l'orifice marron palpite au milieu de sa forêt capillaire, il prend plusieurs fois de la salive à sa bouche et se tartine la rosette, il se rentre même un doigt dans le cul pour préparer le passage, je suis éberlué par son attitude et en même temps, je bande comme un phoque, j'ai envie de fourrer.
Je me colle à son arrière train et positionne ma verge, le gland contre son trou, il pousse de lui même vers ma queue et s'empale en deux secondes, toute la longueur de ma bite disparait dans son sphincter.
Il a poussé un râle de plaisir, il en a vraiment envie, de se faire enculer
- Vas-y maintenant, défonce-moi, me dit-il
Je me mets en mouvement, son conduis est chaud et serré mais bien lubrifié par la salive, ma verge coulisse bien et je le ramone comme je fais avec mes copines, je ressors entièrement ma queue par moments pour mieux lui la renfoncer, ça lui déchire la rondelle à chaque fois, il couine sous la douleur-plaisir que lui procure ces pénétrations, je lui lime le cul en profondeur puis juste l'entrée, avec mon gland.
- Ahhh, salaud, t'encule bien dit-il dans un râle, fais moi dedans
Je comprends à ses paroles, qu'il veut que j'éjacule en lui, j'accélère le ramonage et sent mon plaisir monter, encore quelques coups de reins et je lui lâche ma purée dans les intestins, il pousse un crie de plaisir, il a du sentir le sperme couler en lui, ma bite fait des flocs-flocs dans son sphincter, encore quelques allés-retours et je me retire doucement de son cul, sa rosette est béante et du jus s'en écoule, ma queue est souillée et je reste comme ça, à pas savoir où m'essuyer
Il se retourne, je vois un filet de jus blanchâtre qui s'écoule de sa verge molle, a-t'il jouit?
- Alors, tu as aimé, un cul de mec ?
- Oui, merci patron, c'était aussi bon qu'avec les nanas
- Oh, mais ton dard est tout sale, attend, je vais appeler ma femme, elle va te nettoyer ça
- Ca va pas patron, pas vôtre femme, quesqu'elle va dire?
Il l'appelle avec l'interphone et lui dit de descendre avec le nécessaire, un code entre eux sans doute.
- T'inquiète, elle le sait que j'aime ça, quand j'ai personne sous la main pour me le faire, c'est elle qui me prend, d'ailleurs elle aime regarder aussi quand je me fais enculer, elle participe, c'est une vicieuse, elle me branche sur des hommes parfois, rien que pour regarder des mecs s'enfiler en se touchant la vulve, tu vas voir, quand elle va te laver, elle va te tester.
Sa femme arrive dans la cave avec un trousseau de toilette et un récipient d'eau chaude
- Ah, bien, je vois qu'on prend du bon temps ici, qui s'est fait fourrer aujourd'hui?
- C'est moi, dit le patron, le jeune est puceau des fesses
- Faites voir vôtre attirail, jeune homme, il a du vous chocolater le bâton, mon cochon de mari?
Je lui tends ma verge crottée entre les doigts
- Holà la, il s'est lâché sur vous, je vais vous débarbouiller ça, elle prend une lingette, la passe dans l'eau savonneuse et me nettoie le sexe, elle rince et me lave les testicules aussi, c'est bon, c'est chaud, sa main part entre mes cuisses et elle me lave la raie en frottant doucement mon anus, je trouve de suite la caresses agréable
- Alors comme ça, vous êtes vierge de derrière?
- Oui Madame, je ne suis pas homo
- Ce n'est pas grave ça, pas besoin de l'être pour aimer prendre une verge dans les fesses, vous avez bien sodomisé mon mari non, et pourtant il ne l'est pas?
- Ah, oui?
- Ca ne vous dis pas d'y goutter, il vous ferez ça très bien, de plus, je peux vous préparer à le recevoir en vous, une femme sait faire ce genre de chose
Elle a continuée à me laver et me sécher pendant qu'elle me questionnait, me touchant plusieurs fois l'anus avec insistance, comme pour le tester, son mari m'avait prévenu
- Je vais vous mettre un peu de crème d'hygiène intime sur le sexe, c'est une crème pour femme mais ça marche sur les hommes aussi
Elle prend un tube dans la trousse de toilette et dépose une grosse noix de produit sur mon gland, elle l'étale en me massant des deux mains, elle masse bien, ses mais massent aussi mes couilles et je me remets à bander
- Ah, popaul se réveille dit-elle, beau morceau, le patron doit être content d'avoir eu un truc comme ça dans le cul, hein chéri?
- Oui, pas mal, il m'a bien baissé, je l'ai sentie passer dit-il en nous regardant, la verge à la main, se branlottant pour retrouver de la vigueur
Elle a passée une main entre mes cuisses et m'étale maintenant de la crème dans la raie, elle touche du doigt ma rondelle et la masse en cercle, j'aime cette caresse et je me détends de l'orifice, elle en profite pour appuyer un peu et une phalange me pénètre, je sens que la crème me lubrifie et que je ne pourrais pas l'empêcher de rentrer en moi, c'est ce qu'il ce produit, un doigt entier vient de passer ma barrière virginale
- Et ça, vous aimez?
- Heu, oui Madame, vous le faites bien
- Attends, je vais voir si tu es accueillant, tu veux bien?
- Je ne sais pas Madame, quesque vous voulez me faire?
- Je vais voir si tu peux prendre plus que mon doigt
Et là, je sens qu'elle en rentre un deuxième, c'est moins agréable que le premier, je me sens écartelé, je pousse un petit crie de surprise
- Ho la pucelle, elle a mal avec seulement deux doigts, attend un peu que j'en rajoute un de plus pour pleurer
Le patron a l'air bien excité par la scène, son sexe a pris une taille de plus, son gland est mauve et gros, je le vois quand il se décalotte, une verge bien bandée qui me fascine, par moment j'ai envie de la toucher.
Il a du sentir mon attirance car il s'approche de moi et me la met dans la main
- Touche comme elle est dure et chaude me dit-il
Je la prend à pleine main et commence à le masturber, dans mes fesses, la patronne a remis de la crème et ses doigts coulissent sans douleur, elle me masturbe aussi et l'envie de ma faire sodomiser commence à poindre en moi, son mari m'appuie sur la tête pour me faire comprendre qu'il veut que je le suce, je me courbe pour le prendre en bouche, sa femme en profite pour passer derrière moi et un troisième doigt rejoint les deux autres, je suis déchiré du cul mais je ne proteste pas, j'ai une verge dans la bouche.
Le sexe du patron sent aussi l'urine, ça m'excite à mon grand étonnement, je le pompe comme mes copines me le font, je lui masse les couilles, elles sont grosses et velues et je les imagine pleines de foutre, je n'ai jamais avalé de sperme
- Chéri, viens voir ce mignon petit trou, il va te faire envie
Le patron passe derrière moi et s'accroupit pour me mater l'orifice fouillé par les doigts de la patronne
- A ça, c'est un bel anus de puceau, je suis sur que je serais bien dedans
- Ecoutez jeune homme, dit la patronne, vous êtes bien préparé, vôtre anus est à présent très accueillant, offrez le à mon mari, vous goutterez ainsi à ce plaisir que vous lui avez donné tout à l'heure, vous ne le regretterez pas
- D'accord, j'ai murmuré, honteux d'accepter d'être enculé par un homme, mais le désir est là, je veux maintenant savoir ce que procure une verge dans l'anus, je m'offre à la sodomie, je veux être dépucelé du cul.
La patronne a retirée ses doigts et les essuies avec une lingette
- Va y chéri, il est prêt, encule le
Elle a descendue sa culotte sur ses chevilles et, jambes écartées, se paluche la moule, son mari me saisit aux hanches et place son énorme gland contre ma rosette, il se frotte un peu pour récolter de la crème et lubrifier son braquemard, sa femme, les yeux hagards, le presse de me prendre
- Vas-y chéri, pète lui le cul, fourre le à fond, remplis lui la boîte, je veux l'entendre pleurer de plaisir
Je sens qu'il pousse pour forcer le passage, mon anus ne résiste pas, déjà bien ouvert par les doigts de sa femme, la verge me pénètre d'une traite et rentre profondément dans mon sphincter, je miaule de douleur.
Je suis envahis, la chose est énorme en moi, elle progresse au plus loin qu'elle peut, je dis, stop, arrêtez, c'est trop gros mais le dard est en moi et le patron me maintient fermement.
Sa femme se doigte, penchée sur mes fesses, à regarder la queue de son mari me perforer, elle donne des coups de langue sur sa verge et sur mon anus, il se met en mouvements, doucement il se retire puis se renfonce, il fait ce que je lui ai fait, il sait bien enculer aussi, plusieurs fois, il est ressortit entièrement et m'a remis son gland dans le cul, jouant avec le bourrelet, il me baise comme si j'étais une femme.
La sienne a saisie une bouteille et se la rentre dans la vulve, elle se masturbe violement en encourageant son homme à mieux me fourrer.
- Baise le bien chéri, fait lui un souvenir de sa première fois, casse lui le cul
- Je suis bien dedans, dit-il, il est serré, je vais lui faire dedans
- Non, dans la bouche, fait lui dans la bouche
Le patron me besogne, je ne suis plus qu'un trou pour sa queue, je ressens quand même du plaisir, le frottement sur ma prostate est de plus en plus jouissiffe, je vais éjaculer sans me toucher.
La patronne a posée la bouteille sur le sol, elle s'accroupie dessus et se la rentre dans l'anus, elle glisse sur le goulot qui la pénètre entièrement puis elle pousse pour faire rentrer le reste, elle est comme une folle à se déchirer la rosette, elle s'astique vivement le clitoris, le jus coule de sa vulve formant une flaque à ses pieds, elle pousse des petits cris à chaque centimètre entrant dans son sphincter.
Son mari me travail le boyau en férocité, je sens l'orgasme rectal arriver, je ne retiens rien et le sperme me coule du sexe, je prends un pied comme je n'en ai jamais pris, une sensation totalement nouvelle.
Il se met à gueuler qu'il va venir et se retire de mes fesses avec un bruit de bouchon,
Il vient devant moi et me présente sa queue souillée, je ne peux pas faire ça, trop pour aujourd'hui, je me détourne, dégoutté, mais c'est sa femme qui vient le nettoyer avec la bouche et la bouteille dans son anus, elle avale tout, ça n'a pas l'air de la gêner.
C'est une bite propre qu'il me fait sucer, je le pompe, l'astique, le branle et le liquide séminal m'arrose le palais et la gorge, je goutte à son jus de couilles épais, salé et sucré à la fois, en le mélangeant à ma salive , j'arrive à l'avaler.
La patronne se finie en gueulant des trucs obscènes et se met à pisser par terre en se défonçant l'anus avec la bouteille.
J'ai le cul en feu, un goût de sexe, de sperme et d'urine dans la bouche mais je reste quelques instants dans les vapes, j'ai été bien secoué, dans tous les sens du terme,
Une révélation pour moi, savoir que je peux prendre du plaisir par derrière me fait entrevoir l'avenir différa ment.
Le patron a ouvert une troisième bouteille pour arroser mon dépucelage et, tous les trois, nous nous sommes promis des parties de fesses pour le futur.
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés