Mercredi 17 septembre 3 17 /09 /Sep 20:26

Sylvie et son mari Bastien ont acheté une petite maison en montagne. Pour l'aménager, Bastien fait appel à son frère Marc pour l'aider pendant quelques jours.
Bastien s'occupe de l'extérieur, Marc de l'intérieur. Sylvie, elle, s'occupe du nettoyage.
Bastien scelle les bordures des jardinières.
Sylvie, à la fenêtre de l'étage, lui demande s'il veut une boisson fraîche.
-Tu n'as pas soif mon chéri ? demande-t-elle.
-Non, merci mon amour, répond-il.
Sans savoir ce qu'il lui arrive, et envoûté par la beauté de Sylvie, Marc rampe sur le sol, et vient placer sa tête entre les cuisses de Sylvie.
Surprise, celle-ci écarte ses jambes, toujours accoudée sur le rebord de la fenêtre.
Marc engage deux doigts entre le string de Sylvie et remonte dans les lèvres humides jusqu'au clitoris qu'il sort du capuchon, et qu'il caresse.
-Ho, murmure Sylvie sans repousser l'assaut, mais il est fou.
-Que t'arrive-t-il ? Demande Bastien.
-Rien, souffle-t-elle, je suis un peu fatiguée.
-Arrête toi cinq minutes, répond-il.
Marc a quitté le string et remonté la jupe autour de la taille.
Les jambes légèrement écartées, Sylvie offre sa chatte aux mains, mais aussi à la langue de Marc.
Sylvie se mord les lèvres, et ferme les yeux.
"Mon dieu, comme il me chatte, et comme il me suce. Pardonne moi Bastien, c'est trop bon"
Elle passe une main entre ses jambes pour maintenir la tête de Marc entre ses cuisses.
-Hou..hou.., ha...ha, oui, dit-elle en se retenant. Quel salaud. Il me fait jouir.
Marc, lui, a sorti ses couilles et sa queue en érection de son short.
Il tire Sylvie par les hanches, et l'oblige à s'accroupir, jusqu'à disparaître de la fenêtre.
Ses jambes sont ouvertes à cent quatre vingt degrés. Petit à petit, sa chatte avale la queue de Marc.
Dans un soupir de plaisir, elle passe ses bras autour de sa nuque.
-Qu'est ce que tu me fais, salaud. Tu me niques, hein ? Tu me régales, tu le sais. Je sens que tu vas me cracher dedans. Oh putain, je viens encore, vas-y, oui, oui. On ne m’a jamais écartée comme çà. Si ton frère nous surprend, tu y penses ?
-Et toi, petite pute, tu y penses, répond Marc. Tu préfères te le faire mettre. Tu as vu dans quelle position tu es ? Entièrement offerte. Tu sens comme je joue avec ton bouton, hein ?
Salope, moi aussi je me régale. On n’a pas fini tout les deux. Une petite pipe, et puis je t'encule.
-Ce que tu veux chéri, soupire Sylvie, mais ce soir, quand Bastien dormira. Tu vas voir ce que je vais mettre à tes couilles. Tu ne vas pas les reconnaître.
Le soir, repas sandwich. Ils prennent une douche dans une salle de bain de fortune.
Epuisé par la journée, Bastien prend un somnifère, et va s'allonger sur le matelas, disposé dans un coin du salon. Sylvie est juste vêtue d'une nuisette, très attirante.
-Je fini de ranger, dit-elle, et je te rejoint.
-Tu peux lui donner un coup de main ? Demande Bastien à son frère.
-Pas de problème, répond Marc.
Sylvie rejoint Marc à la cuisine, passe une main autour de sa taille, et lui prend les couilles.
-C'est pas d'un coup de main que j'ai besoin, dit-elle, mais d'un coup de queue.
-Déconne pas, répond Marc. Si on se fait surprendre ?
-Aucun risque, il dort. Si tu n’assures pas cette nuit, je te coupe les couilles, poursuit-elle.
Dans la petite chambre, il n'y a qu'un matelas en quatre vingt dix, et une lampe de chevet.
Marc, tout nu s’allonge. Sylvie le rejoint. Elle se déshabille. Marc découvre son corps.
-Woua, siffle-t-il, il ne doit pas s'emmerder le frangin.
-Moi si, se plaint Sylvie. Touche ma chatte dans quel état elle est.. Et mon bouton, ce salaud.
Sylvie branle doucement la queue de Marc. Elle joue avec le gland qu'elle a bien pris soin de décalotter. Marc est en érection.
-Tu veux que je te taille une pipe ? Dit-elle. C'est çà que tu attends, hein ?
Sylvie prend la queue de Marc et l'aspire dans sa bouche. D'une main, elle lui palpa les couilles.
-Elle sont bien pleine, ces salopes. Il faut les vider
-Tu vas voir quand je vais te sodomiser, râle Marc. Quelle pute tu es. Tiens, prend çà, je crache, avale bordille, ha...ha...oui.. ouah .
-Chut, murmure-t-elle, moins fort.
Sylvie saisit la queue de Marc, lui imbibe le gland avec sa mouille, et la place contre son petit trou.
-Vas-y, dit-elle, régale toi. C'est çà que tu voulais. Putain, comme tu m'encules. Quelle belle queue. C'est à ma chatte après. Mon petit bouton est encore tout décalotté. Con, mais tu te vides dans mon cul ! Je le sens salaud.
C'est en hurlant que Marc décharge dans le petit trou de Sylvie.
Sylvie profite de la raideur de la queue, pour se la mettre dans sa chatte en feu. Elle est en larmes.
-Comme tu me niques, gémit-elle, gratte mon bouton, s'il te plait, fait moi mal, vas-y maque moi, salaud. On m'a jamais baisée comme çà. Qu'est ce que tu me mets. Ma petite chatte est en train de se vider. C'est vrai que je suis une pute. Encore, encore, mon amour…
Et ce salaud de clitoris qui me démange. S'il te plait, tu me le brouteras après, d'accord ?
Haaaaaaa, çà y est, ma pute de chatte coule, oui, oui, embrasse moi chéri. Promet moi qu'on se reverra, hein ? dit oui. Ton frère ne me fait pas du bien comme toi. Il est nul et moins monté que toi. Tu veux me prendre encore. Profitons-en.

Il est huit heures, Bastien se réveille, sa femme sagement allongée à côté de lui.

Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 19:25

Voilà quelques temps que j'ai crée ce blog qui me tient vraiment à coeur....
C'est pour cela que j'ai décidé, pour plus d'interêt, d'ouvrir mon blog aux visiteurs désirant afficher sur internet leurs histoires, photos, et bien plus si imagination.
Je pourrais même creer des rubriques différentes si cela porte ces fruits.
Si vous le désirez, envoyez-moi vos récits ou photos associées à cette adresse
shearch@hotmail.fr pour que je les poste sur le blog.
Merci.

Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 00:57
Je demeure en campagne et loue une maison mitoyenne, la deuxième partie appartient à la propriétaire de l'ensemble, la cinquantaine genre bouledogue, pas de sourire, pas de politesse, tout pour plaire ! Ayant une quinzaine d'années de plus qu'elle, cela ne me gênait pas beaucoup : jusqu'au matin où cette "agréable" personne me demanda (ou me donna plutôt l'ordre) de lui changer une roue crevée sur sa voiture.
Bon gré mal gré je m'exécutais et surprise de ma vie ma propriétaire se baissa à mes cotés pour me voir faire le travail, la surprise faillit me faire tomber à la renverse !
Ployée à mes cotés cuisses légèrement écartées sur une culotte transparente avec une vue de première sur un buisson d'un noir d'ébène, j'en arrivais à démonter sa roue au touché plus qu'à la vue et commençais à remettre en place sa roue de secours. A cet instant elle me demanda si je n'avais pas des problèmes de vue, vu mes hésitations à centrer cette roue, étant d'un caractère un peu soupe au lait je lui fais remarquer qu'avec ses exhibitions de petite culotte il est normal de pinailler un peu pour recentrer cette roue et que si elle est pressée elle n'a qu'a prendre une position plus correcte, un mot en entraînant un autre je lâche la roue, les outils et lui dit de se démerder !!! Toute seule ! Je dois spécifier que nous sommes à huit cent mètres du premier voisin et que le garage le plus proche est à quinze kilomètres , me voyant piquer ma colère elle me dit qu'elle ne comprend pas que je fasse un plat pareil pour une culotte entre aperçue et que je suis un vieux pudibond , enfin des tas de mots agréables à entendre , ne voulant pas être en reste je lui parle de son charmant sourire habituel de sa politesse qui depuis deux ans et demi que je lui loue son appartement a fait que je lui est toujours dit bonjour et qu'elle ne répond qu'une fois sur deux ou trois et encore quand il lui tombe une dent… exécutent un revirement complet la voila partie à me présenter ses plus plates excuses, me disant qu'elle est noyée de problèmes , qu"elle n'est que nu-propriétaire que c'est sa mère qui encaisse le loyer et qu'elle est juste bonne à assumer les charges et les problèmes , qu'elle est célibataire et doit donc faire appel à des professionnels pour toutes les bricoles touchant à l'entretien de la maison , enfin les esprits calmés je remonte sa roue range la roue crevée dans son coffre avec le cric et la trousse à outil. Elle me remercie presque chaleureusement et s'en va, l’histoire aurait pu en rester là… Et non ! Deux jours après elle frappe à ma porte et m'invite à venir boire l'apéritif ce soir à 18 H 30, je la remercie et me creuse la tête pour savoir quoi lui apporter en allant chez elle, des fleurs elle en a un plein jardin, un gâteau pour l'aperto ??? C’est un peu cucul, j’opte en fin de réflexion pour une bouteille de champagne que je mets au frais illico, le soir arrive…
Douché, rasé, je sonne à sa porte lui colle la bouteille enveloppée dans les bras en lui disant que cela scellera notre réconciliation, elle l'accepte avec un vrai sourire et me dit qu'elle avait prévue la même pour l’apéro, après quelques balourdises sur notre futur état si nous buvons les deux bouteilles nous nous installons dans un petit salon avec canapé et petite table basse. Elle me demande d'ouvrir la bouteille pendant qu'elle va chercher les coupes et nous voici installés à déguster notre divin breuvage en discourant sur les choses de la vie et une phrase après l'autre nous entraînent à parler de nos vies, pour moi c'est d'un simplissime exemplaire divorcé et seul, très tranquille pas de problème. Elle commence a me raconter qu'elle a vécue dix ans avec un homme qui n'a jamais voulu divorcer pour l'épouser et que depuis une bonne dizaine d'années elle vit seule, la première bouteille étant vide elle va chercher l'autre et ramène un plateau de petits amuses gueule qui étaient préparé d'avant mon arrivée, ce qui me surprend un peu, mais pas de raison pour se mettre martel en tête, j'ouvre à son ordre la deuxième bouteille et elle vient se rasseoir tout à coté de moi. Un peu étonné mais enfin sans plus nous continuons à discuter, et à ce moment elle me sort que j'aurai bien pu faire le premier pas pour l’inviter ! Je lui réponds que vu notre différence d'age, par soucis du ridicule je m'étais abstenu de toute approche, je trouvais qu'elle commençait à parler et à rire un peu fort, les coupes de champagne devaient commencer à faire effet. a cet instant en se servant elle me tend en bouche un toast je l'accepte , elle se remet à rire en m'en offrant un autre et laissant courir ses doigts sur mes lèvres , ne voulant pas être en reste, je lui tend une olive et lui impose un de mes doigts à sucer, se qu'elle fait en me fixant bien du regard. Je me décide à tenter le tout pour le tout je me penche et l'embrasse au coin des lèvres en lui disant que j'en avais trop envie, elle se penche et m'embrasse à pleine bouche. Ne voulant pas être en reste je l'enlace et commence à la caresser sur les épaules, la nuque, le cou, les cheveux, et descendant doucement sur le haut des seins, ne trouvant aucune résistance et je dirais plutôt une invite à continuer, je ne m'en privais pas… le petit pull fut bientôt troussé et je lui caressais les seins sur son soutien gorge, puis passant une main dans son dos je le dégrafais et pris à pleine main deux seins lourds avec des pointes toutes turgescentes. Elle avait commencée à me caresser les cuisses mais maintenant elle en était plutôt à l'entre cuisse et les résultats ne se sont pas fait attendres, une érection de première, je continuais mes explorations sous sa jupe et découvrais un petit volcan au sommet des deux colonnes, la moiteur de son entre jambes m'incitât à précipiter les choses. Je la faisais lever et la déshabillais entièrement, elle possédait une luxurieuse toison d'un noir intense une vraie brune. Des seins lourds avec de grandes auréoles et des pointes longues le ventre un peu bombé et les hanches un peu larges à mon goût, mais pour son age une belle plante !
Je laissais mes lèvres et mes doigts découvrir tous ses endroits secrets, ses effluves commençaient à m'exciter sérieusement et je la couchais sur le canapé quand elle me fit venir dans sa chambre. Elle me déshabilla en vitesse et commença par me lécher de partout, la renversant sur le lit je lui enfoui le visage en son entre cuisses pour lui lécher sa chatte qui était toute mouillée les grandes lèvres étaient gonflées et il fallait les distendre pour atteindre son coquillage, elle n'avait pas perdue de temps pour se mettre en position tête bêche et nous avons effectués un 69 d’enfer, elle coulait comme une fontaine et je désirais lui introduire mon vit dans la chatte avant qu'elle me fasse décharger en me suçant. D’elle même elle s'installa à quatre pattes et me précisa qu'elle adorait être prise en levrette, il n'y eut pas à forcer pour l'enfiler, la porte était largement ouverte et son fessier ouvert devant mes yeux me donna l’idée de lui titiller la rondelle, ce qui fut accueilli par des, ho oui, encore, entre tes doigts… Je la fouillais en la baisant et lui fit prendre son pied deux fois avant de lui décharger tout le foutre que j'avais en stock dans le ventre, nous nous écroulâmes pour reprendre notre respiration et j'en profitais pour aller chercher le reste de la bouteille et les coupes. Nous discutâmes pendant un moment et surtout nos regrets allaient vers les presque deux ans de perdus à nous regarder en chien de faïence, apres un moment nous réprimes nos ébats et je terminais la soirée en la sodomisant à sa demande !
Depuis nous buvons l'apéritif une ou deux fois par semaine et nous y prenons toujours autant plaisir…
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 00:56
Avec mon chéri, ça faisait 2 jours que nous avions repris une sexualité très ardue…
En effet, nous avons eu une p’tite période d’abstinence d’une dizaine de jours, ce qui n’était pas du tout dans nos habitudes mais le quotidien de notre vie en a voulu ainsi.
Depuis le début de notre relation, sur le plan sexe, nous nous entendons à merveille et nous sommes dans un réel souci de donner du plaisir à l’autre.
Ces deux jours ont été d’une rare intensité dans nos échanges physiques, comme si nos deux corps se découvraient pour la première fois et comme si nous nous donnions tout.
A chaque coup de rein, je le sentais au plus profond de moi, son sexe était au meilleur de sa forme, dur et ferme comme je l’aime.
Nous avons fait l’amour très longtemps, c’était tellement bon que je n’aurais voulu que ça n’en finisse jamais.
Je n’ai pas eu d’orgasme mais j’ai ressenti tellement de plaisir en moi que celui-ci devint aussi nouveau et intense qu’un orgasme.
Nous nous sommes sagement endormis après nos ébats, et je rêvais déjà au long dimanche qui nous attendait et à tout ce que nous pourrions faire…
Malheureusement, la nature en a voulu autrement et je me suis retrouvée, au p’tit matin, indisposée.
A son réveil, ce fût la déception… mais rien nous empêchait de nous amuser un peu.
Je pris son sexe entre mes mains pour le toucher, le caresser puis avec ma bouche, je le léchais, le suçait jusqu’à que son plaisir s’exprime et qu’il éjacule dans ma bouche…
Mais malgré cette si bonne sensation, mon envie de sexe ne pouvait s’arrêter là. ..
Toute la journée, l’idée me trotta dans la tête et je ne pensais qu’au mot plaisir et orgasme, cette sensation de se sentir envahir dans tout le corps telle une décharge électrique.
Je pris une douche pour essayer de me changer les idées et afin de me refroidir un peu mais rien n’y fait, l’envie était de plus en plus pressante…
Mon chéri, quand à lui, jouait à son jeu favori sur l’ordinateur, envahit par la seule idée de conquérir le monde.
Je me coucha sur mon lit, encore humide de ma douche et là, pour la 1ère fois une idée de la sorte me vint à l’esprit :
Et si pendant que Mr était derrière son ordinateur, pourquoi moi je ne pourrais pas jouer avec mon vibromasseur, que nous avons prénommé Billy.
Hummm… cette idée me plaisait, elle était très tentante et excitante, surtout que le fond musical pouvait cacher le bruit de mon vibro ainsi que mes éventuels gémissements et je pourrais ainsi m’exciter et jouir sans qu’il s’en aperçoive… Et pourtant, au fond de moi, je crois que je fantasmais déjà sur l’idée qu’il me regarde faire et peut-être même me filmer, tout en s’excitant lui…
En deux-trois mouvements, j’attrapa mon Billy, m’installa confortablement sur mon lit, les jambes écartées et là, je pouvais commencer la danse du vibro sur mon clitoris.
Il ne fallut pas très longtemps pour que je sente l’excitation en moi monter et sentir les prémices de mon orgasme mais il n’y avait rien de mieux que de retarder ce plaisir.

Ainsi, je continuais à jouer, à me caresser… tout en craignant qu’il remarque tout de même quelque chose car même si cela pouvait être excitant de m’adonner à cette pratique alors qu’il était tout à côté, je me sentais encore gêner de le faire.
Je restais donc sur mes gardes tout stimulant mon clitoris doucement.
Je fermais les yeux afin d’encore mieux me laisser aller à ce doux plaisir en solitaire…
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Samedi 13 septembre 6 13 /09 /Sep 17:54

Tout a commencé le jour où un couple d’amis Denis et Chloë nous ont invité ma femme et moi à une soirée qu’ils avaient organisé pour leurs 50 ans . N’étant pas du même milieu (ils sont propriétaires de plusieurs concessions d’une grande marque automobile et que nous, nous sommes plutôt du genre Français moyen) et nos 20 ans d’écart (ma femme et moi avons respectivement 29 et 30 ans) rendent l’invitation un peu délicate. Après réflexion, nous finissons par nous dire qu’une petite soirée dans ce monde qui n’est pas le notre, peu s’avérer sympa .Nous acceptons donc l’invitation.

Le fameux soir arrivé, nous sortons des placards nos plus belles tenues de soirée. Pour moi un simple costume avec chemise et bien sur la fameuse cravate, quand à Diane une robe légèrement moulante, avec un petit décolleté mettant ses formes avantageuses en évidence.

Nous voilà donc arrivée chez nos amis. Musique d’ambiance, champagne, toast et une cinquantaine de personnes qui étaient apparemment tous dans les âges de nos amis, voire plus. Tout était comme nous l’avions imaginé. Diane fut rapidement entourée d’un oratoire entièrement masculin, je lui fis un petit signe discret pour lui demander si tout allait bien, elle me répondit que oui avec un de ses plus beau sourire. Je partis donc de mon coté virevoltant de groupe en groupe cherchant la discussion susceptible de m’intéresser. Cela fait maintenant un bon moment que nous sommes là, je jette un coup d’œil vers Diane, pour finalement m’apercevoir qu’il n’y a plus qu’un seul homme en grande conversation avec Diane. Un charisme énorme, grand, légèrement grisonnant et une élégance à vous couper le souffle, exactement le genre d’homme que Diane trouve séduisant elle est aux anges, elle boit littéralement ces paroles et rigole à la moindre de ses blagues. Quand Diane me fait enfin signe qu’il est temps de partir, nous sommes quasiment les derniers .Nous n’échangeons aucune parole pendant le trajet du retour, nous rentrons, nous couchons et notre vie reprend sont cours normale.

Jusqu’au jour où en rentrant du travail, une surprise de taille m’attendait à la maison. Une voiture de grosse cylindrée se trouvait dans l’allée, je me garais derrière, me demandant quand même qui de nos amis avait les moyens de s’acheter ce genre de véhicule. En rentrant dans le salon, je sentis le sol s’écrouler sous mes pieds. La fameuse personne que Diane avait rencontrée à la soirée de nos amis était assise dans mon fauteuil, dans MON fauteuil, ma femme à genou prenant goulûment son sexe dans la bouche en prenant bien soin de lui caresser les boules. Je croyais rêver, moi qui avait mis plus de 5 ans à la motiver à me faire un semblant de pipe, elle avalait le sexe d’un inconnu comme si elle avait fait ça toute sa vie. Il se passa un long moment avant qu’ils ne se rendent compte de ma présence, mais dès qu’il me vit il m’accueilli avec un grand sourire :

-Bonjour tu vas bien ? Tu m’excuseras je ne me lève pas pour te serrer la main….Assieds toi je t’en prie on a bientôt finit.

Je me laissais tomber dans le canapé, mon cerveau fonctionnait au ralentit, et regarder ma femme qui n’a marqué aucun mouvement ni de recul ni de surprise à mon arrivé, continué de passer sa langue sur le sexe de ce type qui d’un seul coup posa ses mains la tête de Diane tout en levant les yeux au ciel, puis il se détendit doucement. Après un cour instant il prit le menton de ma femme lui demanda d’ouvrir la bouche :

-C’est bien tu as tout avalé...maintenant nettoie moi la bite avec ta bouche que je puisse me rhabiller, je suis pressé !

Ce qu’elle fit sans se faire prier. Il se leva réajusta son pantalon me donna une légère tape amicale sur l’épaule :
-Si tu as des questions demande à Diane elle va t’expliquer. A très bientôt…

Tête basse elle se rapprocha de moi et me dit qu’elle a passée une nuit avec Chris (c’est son prénom) et qu’il en a profité pour faire un film torride à son insu et qu’il menace de faire circuler cette vidéo sur le net si je ne fais pas tout ce qu’il désire et apparemment, me prendre à partis a l’air de faire partis de ses plans…

Effectivement nous le revîmes rapidement puisque 2 jours après, alors que nous venions juste de nous coucher on sonna à la porte. Malgré l’heure tardive, j’allais ouvrir la porte pour y trouver Chris. Je me suis sentis envahis par un sentiment de colère et en même temps d’un petit sentiment d’excitation à l’idée de ce qui allait se passer. Il rentra me serra la main avec son habituel sourire de force tranquille et me demanda on se trouvait Diane, je lui dis qu’elle se trouvait dans notre chambre, il ajouta un « bien » et prit la direction de la chambre sans que j’ai eu le besoin de lui indiquer. Il poussa la porte et trouva effectivement Diane dans son lit. Il la salua, elle eut un petit mouvement de recul à la vu de Chris.

-Alors déjà couché ? Vous aviez des projets coquins…
-Euh, non…Balbutia Diane
Il tira la couette et découvrit Diane dans une vulgaire chemise de nuit en coton.
-Pas très sexy tout ça. Tu portes des sous-vêtements en dessous ?
-Juste une culotte.
- Fais-moi voir.
Elle me jeta un regard, était ce un appel au secours ou cherchait elle mon approbation, je ne le saurais jamais. Toujours est-il qu’elle remonta sa chemise de nuit sur son nombril.
-Tu ne dois jamais porter de culotte la nuit, tu dois te coucher nue, des fois que ton mari se réveillerait avec une envie de te pénétrer, tu dois toujours être disponible. Il me regarde et me dit qu’il va m’aider à rattraper le retard que j’ai pris dans son éducation sexuelle.
-Allez Diane retire ta culotte, dit-il.
Hésitante, elle la fit glisser jusqu'à ses chevilles. Il prit la culotte qu’il mit dans sa poche et lui fit écarter légèrement les cuisses, juste assez pour que l’on puisse apercevoir sa fente entre sa toison noir.
-C’est bien, maintenant plis les genoux. Il mis sa main sur le sexe Diane et commença de lent va et vient, s’arrêta, puis lui glissa un doigt à l’intérieur.
-Elle est déjà trempée alors que je l’ai à peine touchée, elle est faite pour l’amour, je l’ai su dès que je l’ai vu.
IL lui enleva ça chemise de nuit et du coup se retrouva nue sur le lit, il lui caressa doucement les seins. Lui demanda de se caresser la chatte, comme elle ne bougeait pas il lui pinça les tétons d’un coup sec. Diane laissa échapper un petit cri et rapidement ses mains se mirent en action.
-Il faut lui faire comprendre que c’est toi qui est aux commandes et qu’elle doit se laisser guider si elle veut jouir pleinement.
Diane était dans tous ces états d’une main elle s’occupait de son clito et de l’autre elle se rentrait un puis 2 puis 4 doigts dans la chatte, tandis que Chris s’affairait toujours sur ses seins.
-STOP cria t’il soudain, maintenant tu te retournes, tête dans le matelas et cul bien en l’air. Ce qu’elle fit sans discuter.
-Voilà montre nous ton beau derrière, je vais te glisser un doigt dans le cul, ça t’excites ?
-J’ai rien entendu !
-ohhouii..mmmm eexciite ,marmona Diane.
-dernière fois que je te le dis, plus distinctement et dis moi ce qui t’excites !
-Fourre moi ton doigt dans le cul.
-Ca y est, tu commences à comprendre.
-Ca y est, tu es assez ouverte, je vais pouvoir remplacer mon doigt par quelque chose de bien plus intéressant.
De là, il baissa son pantalon et son caleçon, sortit son énorme engin avec lequel il caressa les orifices de Diane qui ne pouvait s’empêcher de pousser des petits cris de jouissance.
-mets la moi, vite, mets la moi !!
-Tu vois, tu apprends vite, mais c’est dans le cul que tu vas l’avoir.
-Non pas là ça fait trop mal !!
Il présenta son sexe sur sa petite rondelle et il commença à rentrer, d’abord le gland puis petit à petit le reste a suivi accompagné d’un long gémissement de Diane.
-Tu vois Marc rien de tel qu’une bonne sodomie pour soumettre une femme je peux te dire qu’à partir de maintenant elle obéira à tout mes désirs qui sont aussi les siens d’ailleurs rien que pour sentir une nouvelle fois ma bite entre ces fesses.
-N’est ce pas Diane que de sentir mes couilles taper ta chatte et de me sentir en toi, te font jouir ?
-ooohh ! Oui, continu plus fort.
Et dans un dernier Han ! De bûcheron il jouit dans le derrière de Diane.
Il finit de se mettre entièrement nu, me dit qu’il va rester dormir ici cette nuit et que je peux donc aller dormir dans le canapé. Pendant la nuit j’entendis Diane jouir comme jamais et une autre fois sur le matin, alors que moi déjà debout je préparais le petit déjeuné.Il vint s’asseoir à table mis une culotte de Diane dans mon bol et me dit avec un rictus victorieux :
-Pas de culotte la nuit et elle t’appartient, en l’occurrence, c’est moi qui suis en possession de la culotte donc elle m’appartient…
Le samedi suivant une grosse berline s’arrêta devant chez nous, je reconnus immédiatement la voiture de Chris .Une portière claqua puis une deuxième il n’était donc pas seul. Je retournais à la fenêtre pour apercevoir Denis .Aussitôt sa présence me rassura s’il était là ce ne pouvait être qu’une visite de courtoisie. Diane alla donc leur ouvrir, brève salutations et nous expliquent qu’ils sont en promenade et qu’un rafraîchissement leur ferait du bien. On s’installe donc autour de la table, je ramène 4 bières et demande si quelqu’un souhaite un verre, Chris me répond que l’on va trinquer à la façon d’une tribu d’Afrique ou quelque chose comme ça c'est-à-dire avec de la cyprine.
-De la cyprine !! S’exclama Diane.
-Oui, il faut juste en mettre un peu autour du goulot répondit Chris.
A ce moment là je compris que ce n’était certainement pas la soif qui les avaient fait s’arrêter chez nous et que Denis n’était pas le sauveur que j’imaginais.
-Allez Diane c’est pour le symbole de notre amitié, ça n’est pas la mort non plus.
-Non, je refuse gardez vos débilités pour vous.
-Ne sois pas inquiète pour Denis dit il, il a vu la vidéo …
-Et j’ai vraiment apprécié ta prestation Diane, tu es en train de comprendre ce que prendre du plaisir veut dire…
Chris fit signe à Diane de se lever, lui pris la main et l’attira vers lui. Elle n’osait pas nous regarder. Il défit le bouton du pantalon de Diane, descendit la fermeture éclair et lui fit glisser délicatement sur les chevilles en prenant tout son temps. Il lui dégagea un pied, puis l’autre. Nous étions tout les 3 assis, le regard posé sur Diane, attendant avec impatience la suite des évènements. Denis regarda Diane dans les yeux en lui demandant ce qu’elle attendait pour enlever sa culotte. Elle baissa les yeux, respira un grand coup et finit par s’exécuter. Pour l’encourager Chris lui fit des compliments tout en la faisant tourner sur elle-même pour que nous puissions l’admirer sous toutes les coutures.
Nous allons pouvoir commencer la cérémonie annonça solennellement Denis. Alors Chris pris une des bouteilles, demanda à Diane d’écarter les cuisses suffisamment pour qu’il puisse y passer le goulot. Il commença à frotter la canette contre la fente brune de Diane qui fut surprise par la fraîcheur du verre. Avec la seconde, il insista un peu plus longtemps sur le clitoris, on vit sur le visage de Diane que la sensation de froid avait été dépassée par un sentiment plus fort. Il insista 5 minutes, puis pris une nouvelle bouteille qu’il représenta sur les lèvres humides et gonflées, et là qu’elle ne fut pas ma surprise de voir qu’il n’avait même plus besoin de bouger sa main car c’est Diane qui par des mouvements de bassin déposait sa cyprine sur le verre.
-Chassez le naturel, il revient au galop dit Denis.
Là il ne marqua pas de temps de pause et enchaîna avec la quatrième qu’il présenta directement à l’entrée de son vagin , Diane passa son bras autour des épaules de Chris pour se tenir et plia les genoux pour laisser le goulot s’enfoncer en elle. Chris me demanda de tenir la bouteille, le temps qu’ils se déshabillent. Une fois qu’ils furent nus ils se rapprochèrent de Diane. Denis prit une bouteille sur la table qu’il porta à la bouche de Diane en lui demandant de fermer les yeux et d’imaginer un sexe, elle se mit donc à sucer cette bouteille pendant que Chris commençait à fouiller entre ces fesses avec sa langue.
-Bon passons aux choses sérieuses dit Denis en finissant de déshabiller Diane. Tu peux venir nous regarder si tu veux ajouta t’il alors qu’ils prenaient tout les 3 le chemin de notre chambre. Je les laissais partir hésitant, je finis par les suivre et regarder par l’ouverture de la porte. Chris c’était allongé sur le lit, chevauché par Diane alors que Denis se branlait d’une main et avec deux doigts de l’autre s’affairait entre les fesses de Diane.
-On va t’emmener au 7 ciel ma belle dit Denis, vas y Chris écartes lui le cul que je puisse m’y glisser. Il présenta son gland sur l’anus qui ne tarda pas disparaître, le reste ne tarda pas à être engloutit également. Chris et Denis se lancèrent dans un lent mouvement de va et vient, je regardais ces deux sexes entrer et sortir de Diane de plus en plus rapidement, pour finir par un cris de jouissance simultané des 3 acteurs. Chris et Denis se rhabillèrent et avant de partir me dirent qu’ils seraient obligé de revenir tant que je ne prendrais pas soin de Diane, je pus leur dire que j’avais bien retenu la leçon…

Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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