No limit sur le sexe
J'aime voyager. Pas seulement en réalité, ce qui m'arrive comme à tout le monde. Non mon désir est de faire le tour du monde par des rencontres féminines originaire de tous les continents ou
pays.
J'ai pris goût à cela après avoir rencontré une cambodgienne. Elle avait bien sur le visage rond de ceux de sa race (attention je ne suis pas raciste) n'était pas très grande environ 1 m 65 mais était très bien proportionnée. Je l'ai rencontré chez des amis où elle accompagnait d'autres amis. Nous avons eu presque aussitôt une attirance, pas forcément sexuelle mais sur des petits rien : nous aimions presque les mêmes musiques classique : j'étais du genre classique 16 ou 17° siècle, elle préférait le 19 ou 20° siècle. Tous les goûts sont dans la nature. Finalement cette réception nous ennuyait plutôt qu'autre chose. Nous sommes partis tous le deux sans but bien précis et avons fini par nous asseoir dans un petit café très sympa à peu de distance. Buvant ensemble un café, la conversation dérivait bientôt sur nos besoins sexuels.
Naturellement elle ne se dévoilait pas beaucoup mais je compris quand même qu'elle était attirée par les hommes grands ce que je suis. Je lui faisais des compliments sur son visage et son corps admirable. Notre conversation finissait bientôt, l'heure tournait et il me fallait rentrer tôt. Nous avons prit rendez vous le lendemain et l'invitais à un restaurant dont je connaissait la bonne chaire.
Pile à l'heure dite elle arrive et nous choisissons un menu assez léger. Le repas se passe fort bien et nous reparlons de la même conversation sur le sexe. Elle se confiait un peu plus. Moi aussi. Mais nous nous excitions sans le vouloir. Je sentais en elle une envie de faire l'amour et elle le sentait sur moi. Je lui proposais d'aller chez moi boire un verre. Après quelques manières elle acceptait.
Mon chez moi n'est pas grand, un séjour, une cuisine deux chambres. Mais il allait fort bien. Je la fis s'installer sur la banquette de la salle de séjour en lui offrant un alcool qu’elle refusait préférant un jus de fruit. Après un instant de gène, je pris les devants en me rapprochant d'elle et la pris par les épaules. Elle ne se dérobait pas, au contraire. Je posais mes lèvres dans son cou : elle offrait son cou. Enfin pensant pousser mon avantage, j'allais l'embrasser lorsque sa bouche m'offrait un baiser profond, très profond même. Je compris à ce moment là qu'elle désirait finir la nuit avec moi. Je lui mis une main sur un sein qui durcissait devant mes caresses et je m’aperçus qu'elle ne portait pas de soutien gorge. Je soulevais son pull et lui mis la poitrine nue : que de beau seins, tout rond, les aréoles à peine marquées, les tétons durcis par lez désir. Je suçais un sein avant d'aller à l'autre pour qu'il n'y ai pas de jaloux. Elle renversait la tête en jouissant du présent. Elle ne restait pas inactive et cherchait elle aussi mes tétons. Les ayant trouvé elle se mit à son tour à me les sucer.
Je descendais ma main vers ses genoux et remontais le long de ses cuisses qu'elle écartait pour faciliter le passage. J'arrivais à la culotte qui était trempée. J'écartais le tissu pour accéder à son con. Mais elle préférait se lever et enlever ses vêtements, entièrement nue, je la fis asseoir sur mes genoux pour la branler. Elle voulu me branler aussi : sa main sur mon sexe durci lui indiquait bien que je bandais beaucoup. Je me mis nu à mon tour, avec son aide pour enlever le slip. Elle pris ma bitte dans sa main et la branlottait lentement. Pour que je ne jouisse pas trop vite. Ma main sur son sexe lui branlait les clitoris et je changeais de place pour lui mettre un doigt dans le con. Elle jouis presque de suite. Mais connaissant les femmes je savais que je pouvais encore lui donner du plaisir en la baisant. Nous avons jouit tous les deux en même temps : je sentais les spasmes de son con autour de ma pine. J'en bandais encore. Elle me demandât de faire un 69 ce que j'aimais.
Nous avons baisé jusqu'à une heure avancée et nous nous sommes endormis sur le canapé, nus l'un et 'autre. Au réveil elle avait sa main sur mon sexe et cherchait encore des jouissances que je pouvais lui donner encore.
Le souvenir que j'en ai est son sexe en forme de tirelire, son silence pendant ses orgasmes et sa dextérité pour baiser. Je ne l'ai plus rencontré, peut-être lit-elle se récit…
J'ai pris goût à cela après avoir rencontré une cambodgienne. Elle avait bien sur le visage rond de ceux de sa race (attention je ne suis pas raciste) n'était pas très grande environ 1 m 65 mais était très bien proportionnée. Je l'ai rencontré chez des amis où elle accompagnait d'autres amis. Nous avons eu presque aussitôt une attirance, pas forcément sexuelle mais sur des petits rien : nous aimions presque les mêmes musiques classique : j'étais du genre classique 16 ou 17° siècle, elle préférait le 19 ou 20° siècle. Tous les goûts sont dans la nature. Finalement cette réception nous ennuyait plutôt qu'autre chose. Nous sommes partis tous le deux sans but bien précis et avons fini par nous asseoir dans un petit café très sympa à peu de distance. Buvant ensemble un café, la conversation dérivait bientôt sur nos besoins sexuels.
Naturellement elle ne se dévoilait pas beaucoup mais je compris quand même qu'elle était attirée par les hommes grands ce que je suis. Je lui faisais des compliments sur son visage et son corps admirable. Notre conversation finissait bientôt, l'heure tournait et il me fallait rentrer tôt. Nous avons prit rendez vous le lendemain et l'invitais à un restaurant dont je connaissait la bonne chaire.
Pile à l'heure dite elle arrive et nous choisissons un menu assez léger. Le repas se passe fort bien et nous reparlons de la même conversation sur le sexe. Elle se confiait un peu plus. Moi aussi. Mais nous nous excitions sans le vouloir. Je sentais en elle une envie de faire l'amour et elle le sentait sur moi. Je lui proposais d'aller chez moi boire un verre. Après quelques manières elle acceptait.
Mon chez moi n'est pas grand, un séjour, une cuisine deux chambres. Mais il allait fort bien. Je la fis s'installer sur la banquette de la salle de séjour en lui offrant un alcool qu’elle refusait préférant un jus de fruit. Après un instant de gène, je pris les devants en me rapprochant d'elle et la pris par les épaules. Elle ne se dérobait pas, au contraire. Je posais mes lèvres dans son cou : elle offrait son cou. Enfin pensant pousser mon avantage, j'allais l'embrasser lorsque sa bouche m'offrait un baiser profond, très profond même. Je compris à ce moment là qu'elle désirait finir la nuit avec moi. Je lui mis une main sur un sein qui durcissait devant mes caresses et je m’aperçus qu'elle ne portait pas de soutien gorge. Je soulevais son pull et lui mis la poitrine nue : que de beau seins, tout rond, les aréoles à peine marquées, les tétons durcis par lez désir. Je suçais un sein avant d'aller à l'autre pour qu'il n'y ai pas de jaloux. Elle renversait la tête en jouissant du présent. Elle ne restait pas inactive et cherchait elle aussi mes tétons. Les ayant trouvé elle se mit à son tour à me les sucer.
Je descendais ma main vers ses genoux et remontais le long de ses cuisses qu'elle écartait pour faciliter le passage. J'arrivais à la culotte qui était trempée. J'écartais le tissu pour accéder à son con. Mais elle préférait se lever et enlever ses vêtements, entièrement nue, je la fis asseoir sur mes genoux pour la branler. Elle voulu me branler aussi : sa main sur mon sexe durci lui indiquait bien que je bandais beaucoup. Je me mis nu à mon tour, avec son aide pour enlever le slip. Elle pris ma bitte dans sa main et la branlottait lentement. Pour que je ne jouisse pas trop vite. Ma main sur son sexe lui branlait les clitoris et je changeais de place pour lui mettre un doigt dans le con. Elle jouis presque de suite. Mais connaissant les femmes je savais que je pouvais encore lui donner du plaisir en la baisant. Nous avons jouit tous les deux en même temps : je sentais les spasmes de son con autour de ma pine. J'en bandais encore. Elle me demandât de faire un 69 ce que j'aimais.
Nous avons baisé jusqu'à une heure avancée et nous nous sommes endormis sur le canapé, nus l'un et 'autre. Au réveil elle avait sa main sur mon sexe et cherchait encore des jouissances que je pouvais lui donner encore.
Le souvenir que j'en ai est son sexe en forme de tirelire, son silence pendant ses orgasmes et sa dextérité pour baiser. Je ne l'ai plus rencontré, peut-être lit-elle se récit…
Sam 6 sep 2008
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