Mardi 2 septembre 2 02 /09 /Sep 14:12
Cela fait plusieurs jours que tu as du t’absenter… je déteste ça. J’ai du dormir seule et n’ai pas eu une totale satisfaction de mes sens.
Mes nuits solitaires n’ont pas été sans vibrations, j’ai laissé mes mains courir sur mon corps, mon ventre, mes seins. Je fais courir mes doigts sur mes aréoles et j’imagines tes mains et tes lèvres. Je te vois aspirer mon téton, le mordiller et souffler légèrement dessus pour qu’il se dresse fièrement.
Je sens tes mains qui parcourent mon corps, me caressent, me serrent, me taquinent. Tes doigts qui retracent chacune de mes courbes s’attardant sur un sein, une cuisse, l’intérieur d’une cuisse. Tes lèvres qui dessinent des arabesques entre mes seins, autour de mon nombril et sur mon sexe.
Ta langue qui furète, qui redessine une lèvre avant de prendre possession de mon vagin, de m’envahir et de m’abandonner pour que je te supplie de revenir.
Tout cela me manque atrocement… je me caresse… j’utilise le vibro que tu m’as offert mais ce n’est pas pareil. Ce n’est pas le même plaisir.

En bonne compagne, comme les geisha, je porte les boules du même nom jusqu’ à ton retour. Leurs vibrations me préparent à nos ébats et me donnent des envies et des idées pimentées.
J’ai déjà préparé ma tenue pour ton retour mon amour. Je porterais la guêpière que tu aimes tant avec les bas gris. Mes seins ainsi embellis ressortiront très bien sur le chemisier parme très échancré (à qui sert de fermer tous les boutons pour les retirer ensuite J)… ma jupe fendue beige complètera à merveille le tout avec mes escarpins assortis.
J’ai envie de toi et je prépares ton retour. J’irais te chercher à la gare comme convenu. Je me suis préparée pour cela. J’ai acheté un œuf vibrant avec télécommande à distance. Je sais que les nouveaux jouets t’excitent. Je l’ai en moi pendant que je t’écris, je module les vibrations de tout doux à extrêmement excitant. J’ai de plus en plus envie de toi.
Je le porterais aussi à la gare et je te laisserais le soin de jouer avec la télécommande pendant que je conduirais.
La route entre la gare et notre maison est courte mais pas assez à mon goût. Je te caresse, je laisse ma main glisser sur ta cuisse, ton entre-cuisse. Puis sans fausse honte, je te caresse le sexe à travers ton pantalon. Je fais sauter les boutons de ta braguette pour être en contact direct avec ta peau.
Comme j’ai envie de toi…
J’ai envie de t’entendre gémir. Je te caresse de plus en plus précisément. Je décide d’aller plus loin. Je prend une route de traverse et m’enfonce dans le sous-bois (faut pas non plus risquer un accident … ça limiterait tellement le plaisir). Je coupe le moteur et me tourne vers toi. Ma ceinture de sécurité a volé. Libre de toute entrave, je me penche vers toi et effleure tes lèvres d’un baiser. Je me penche un peu plus et effleure ton sexe d’un baiser. Et d’un autre.
Je glisse doucement le bout de ma langue sur ton gland. Je t’entends soupirer et ce souffle d’air m’excite plus que tout le reste. Je prends ton sexe délicatement entre mes lèvres et te tète le gland quelques instants. Je ressors ton sexe de ma bouche et entreprends de lécher ta verge de bas en haut sans oublier un baiser sur le gland en passant.
J’adore te sucer. J’ai une sensation de pouvoir incroyable dans ces cas-là. Je maîtrise le plaisir que tu prends… c’est moi et moi seule qui te fais gémir et jouir.
Je te prends en entier dans ma bouche et commence de lents aller retour, je fais tourner ta verge dans ma bouche et prends bien soin que le métal du piercing vienne te chatouiller le gland pour créer le « chaud/froid » qui t’excite tant. Je monte, je descend, je tourne et retourne… je te tète et te sens vibrer. J’adore.
Je monte et redescend de plus en plus vite et à chaque aller-retour, je te prend un peu plus dans ma bouche. On est presque à la gorge profonde et tu adores ça. Tu m’encourage en me caressant les cheveux, tu gémis et veux plus, plus vite.
Je continue jusqu’à ta jouissance. J’avale et me redresse. Tu me souris, je me penche vers toi et t’embrasse à pleine bouche. Tu aimes autant que moi le contact de nos salives et de ton sperme mélangés qui est le symbole de ton plaisir.
Pendant tout ce temps tu n’as pas lâché la télécommande, tu t’amuses à me faire vibrer sur différents modes doucement, rapide, doucement, rapide…
Je me réinstalle à la place du conducteur et je redémarre. Dans dix minutes nous serons chez nous et ce sera à ton tour de me faire jouir.
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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