Lundi 1 septembre
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16:01
Seul, je décidais d'aller au cinéma où passait le dernier film d'Almodovar. Peu de personne dans la salle, je pris place et enlevais ma veste pour la poser sur le siège voisin. Le film commença,
puis au bout de cinq minutes, deux personnes arivèrent. C'était deux femmes, l'une essayant d'aider l'autre à se déplacer dans la semi-obscurité pour trouver une place. Je jetais un oeil, et voyant
qu'elles voulaient s'assoire à côté de moi, je retirais ma veste que je posais sur mes genoux pour laisser la place libre. La personne près de moi, la quarantaine l'air sympathique, mignonne et
l'autre plus agée, et j'ai pensé que ce devait être la mère...
Au bout de cinq minutes ma voisine, qui portait un manteau, se leva et retira ses effets et les posa, comme moi, sur ses genoux. Il faisait chaud et les images d'intigres entre garçons devenaient
de plus précises et osées.
Le film commençait à m'exciter, et je tentais une approche avec ma voisine en appuyant sur son genoux près du mien. Surprise, elle résista. Si elle avait fui, je n'aurais pas insisté, mais là...
J'accentuais ma pression pour confirmation, et la résistance était toujours là. Quelques minutes plus tard, j'osais et posais ma main sur sa cuisse, son vêtement la protègeant de tous regard, même
de la vieille... j'entendis son souffle s'accélerer et la jupe se tendre par l'écartement de ses cuisses.
Je commençais une petite caresse et je sentis un petit tremblement d'excitation. La partie s'annonçait bien et je tentais de passer ma main sous la jupe. Sa cuisse était chaude et lisse et le gras
de cette cuisse un peu humide de transpiration... Elle se tournait de temps en temps pour demander à sa voisine si tout allait bien.
Ma main continua son chemin et remonta vers son nid d'amour. Elle rencontra de la dentelle, puis en descendant un peu plus bas le tissu moins noble mais mouillé. Elle mouille déjà, pensais-je...
Mes doigts firent le tour de l'élastic et tatèrent la petite toison et atteingnirent ses lèvres entrouvertes et dégouliantes de cyprine. Je bandais comme un malade. Cette situation avec une
inconnue m'excitait au plus haut point ! Mon doigt s'enfonçant dans son vagin inondé, allait et venait, allait titiller son bouton dressé puis revint dans son vagin. Je sentais qu'elle se retenait
pour ne pas éveiller les soupçons qu'aurait pu avoir sa voisine. Au bout de cinq minutes de branle, son bassin sursauta et ses cuisses se retirèrent aussitôt pour conicer ma main. Je compris
qu'elle arrivait à son orgasme et qu'elle voulait que je lui laisse cette main là, comme pour que sa jouissance continue au maximum et ne s'arrête pas. Je n'avais pas arrêter de regarder l'écran
pendant ce moment inoubliable. Mais doucement, elle deserra son étau et peu à peu je retirais ma main. Je mis ma main à la bouche pour gouter ce nectar et je m'en régalais...
Discrètement, elle glissa sa main derrière mon coude et lança sa main sous ma veste et commença par caresser mon sexe tendu dans mon pantalon. J'ai cru cent fois décharger à ce moment là, mai
j'arrivais à me retenir et sa caresse devint douce et délicate.Pour l'aider, avec beaucoup de discrétion pour ne pas attirer l'attention, je baissais ma fermeture avecl'autre main. Sa main s'y
engouffra, me malaxant mon sexe raide et chaud et avec agilité glissa sa main derrière l'élastic de mon slip pour atteindre mon chibre turgescent. Doucement, elle finit par me décalotter et passa
son pouce sur le méat en décrivant des cercles... puis continua sa branle magnifique.
Malgré tous mes efforts pour me retenir, je finis par exploser dans sa main plusieurs saccades de jets de foutre. Elle attendit un certain temps, la main immobile dans mon slip et avec lenteur la
retira complètement du pantalon. Un bref regard sur le côté, et je vis qu'elle portait sa main à sa bouche. La veste toujours sur les genoux, je me débrouiilais pour aller chercher un mouchoir dans
l'autre poche et je finis par temponné mon sexe enduit de sperme, avant de refermer ma braguette discrètement. Une fois l'orage passé, je tendais une main vers elle sous son vêtement. Sa main la
prit et me serra fort comme pour me remercier et je lui rendais la même chose.
Après le END de la fin du film, la lumière s'alluma et sans un regard ni un mot elle se retourna vers la vieille pour l'aider à se lever et à prendre le chemin de la sortie.
Je ne l'ai plus jamais revue, mais quel souvenir ! ! !
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