Il est vingt deux heures, le relais routier commence à se vider. Les chauffeurs regagnent leur camion. Clara, une femme de trente cinq ans, un mètre quatre vingt, quatre vingt dix kilos, une force
de la nature, discute avec Arnaud.
-J'ai un sacré problème, dit-elle, le chauffage de mon camion marche plus, et les nuit sont fraîches.
-Ah bon, répond Arnaud, demande à Julien, son nouveau camion a deux couchettes.
Julien est un homme de quarante cinq ans, un mètre soixante dix, soixante quinze kilos.
-Juju, demande Clara, j'ai plus de chauffage dans ma cabine. Au cas ou, tu peux m'héberger?
-Pas de problème, tu auras qu’à taper à la portière.
Dans son village, Clara a une réputation de femme possessive, dominatrice. Son copain en sait quelque chose. C'est elle qui commande.
Au bout d'une heure, n'y tenant plus de froid, Clara frappe chez Julien. Il ouvre. Il est juste vêtu d'un tee-short qui lui arrive à mi-cuisse.
-Vite, monte, lui dit-il, il fait froid. Tu veux un café.
-Non merci, c'est gentil répond-elle.
-Je vais prendre la couchette d'en haut, dit-il, celle du bas est un peu plus large.
Julien commence à monter, pose un genou sur la couchette, dévoilant ainsi toute son anatomie à Clara, placée derrière lui. Elle avance sa main entre les jambes écartées de Julien.
-C'est quoi ce qui pend là, dit-elle. Oh, mais c’est une paire de couilles.
Julien est paralysé par la surprise. D'autant plus que Clara a tendance à serrer un peu fort ses bourses.
-Aie aie, fait Julien, çà va pas, tu me fais mal.
-Chut, dit-elle, je ne vais pas te tuer, calme toi, laisse toi faire.
Elle fait rouler les testicules entre ses doigts. Elle continue sa progression sur le devant des cuisses, et lui saisit le pénis, Et là, elle part dans un éclat de rire.
-C'est tout, dit-elle. C'est quoi cette petite mèche. C'est la première fois que je tiens un petit bout comme çà. Juste pour pisser.
C'est vrai que Julien a une belle paire de couilles, mais sa queue, au repos, doit mesurer quatre à cinq centimètres. Julien rougit de honte. Clara tire sur ses couilles pour le faire descendre.
Elle s'installe sur le siège passager.
-Viens t'asseoir sur mes genoux, ordonne-t-elle, on va jouer tout les deux.
Pris aux testicules, Julien est obligé d'obéir. Elle lui demande de quitter son tee-short.
Il s'assied sur les genoux de Clara. Subitement, elle écarte ses jambes, pour prendre en tenaille les couilles de Julien entre ses cuisses
-Aie aie, se plaint Julien, tu me coinces. Tu vas me les écraser.
Clara, en riant, écarte ses cuisses. Puis d'un coup les resserrent.
-Aie aie, çà suffit, qu'est ce que tu cherches, salope.
-Tu me parles pas mal, ok.
Elle serre.
-Aie aie, assez, s'il te plait, je t'ai rien fait.
Julien se calme. Clara le regarde dans les yeux en souriant. Elle joue avec sa petite queue tirant dessus, la faisant rouler entre ses doigts. Julien ne dit plus rien. Il sait qu'il ne peut rien
faire. Il est soumis à cette femme. Clara le sent à sa merci. Elle va pouvoir s'amuser avec lui, l'humilier même. Un sourire apparaît sur ses lèvres. A force de caresse, la petite queue commence à
grandir, pour atteindre quinze à seize centimètres.
-Ben dit dont, remarque Clara. Partir de rien et arriver à tout çà, c'est super. Tu vas voir comme je vais te faire du bien.
Julien avala sa salive. Les yeux mi-clos, il savoure cet instant, et il n’est pas au bout de ses surprises. Elle commence à faire des va et vient avec sa main sur la bite de Julien. Elle passe un
bras dans son dos pour le maintenir un peu en arrière. Elle écarte ses cuisses pour qu'il dégage ses bourses.
-Soulève toi un peu, que je te prenne les couilles, dit-elle. Voilà, j'ai tout en main maintenant.
Je vais bien m'occuper de toi.
Elle fait rouler les testicules entre ses doigts en serrant un peu.
-Non, dit-il, plus çà, s'il te plait, ne serre pas.
-A, soit sage, gronde-t-elle, sinon je vais te faire couiner.
Clara mouille ses doigts, et s'attaque à la queue de Julien. Elle joue avec le prépuce, calottant et décalottant le gland. Du majeur elle caresse le méat, faisant sursauter Julien.
-Qu'est ce qu'il t'arrive mon Juju, tu te régales, hein. Tu aimes ce que je fais à ta queue.
Tu veux que j'arrête?
-Non, surtout pas, répond-il, c'est trop bon. Putain, comme tu te sers d'un homme.
Clara ne veut pas qu'il jouisse, alors elle reprend les couilles en mains, sans serrer cette fois. Elle les caresse. Julien se laisse aller aux désirs de cette femme, qui fait de lui, ce qu'elle
veut. Clara maîtrise la situation. Elle mouille une nouvelle fois ses doigts, et repart à l'assaut. Elle les fait tourner autour du gland pour bien l'humidifier. Julien lance des plaintes de
plaisir.
-S'il te plait Clara, ne me fait pas râler, branle moi. Tu peux pas me laisser comme çà.
-Envie de quoi, demande-t-elle. Tu veux que je fasse pleurer ton petit oiseau. Tu vas salir ton camion.
-Je m'en fou, je nettoierai, mais, fait moi plaisir, s'il te plait.
Clara commence ses va et vient sur la bite de Julien, d'abord lentement, puis de plus en plus vite. Julien pousse des plaintes, des gémissements. D'un coup, Clara arête ses mouvements.
-Oh non, pas çà salope, râle Julien, j'allais venir, tu es méchante. Continue, fait moi jouir.
Clara sait qu'il a raison. Ce qui ne l'empêche pas de continuer. Elle lui caresse le torse, grattant les mamelons avec ses ongles. Elle le regarde d'un air ironique. Elle redescend, saisit son
membre et reprend sa branlette. Mais là, elle accélère. Elle veut le finir. Julien commence a s'agiter. Son bassin se soulève, çà y est.
-Ha haa oui, comme çà, vas-y, je crache ohohoh, salope.
Julien éjacule, Sa semence traverse la cabine. Puis Clara met l'index et le majeur tout prêt du méat pour récupérer du sperme. D'un geste vif, elle enfonce ses deux doigts dans la bouche ouverte de
Julien.
-Tiens, goutte, lui dit-elle, goutte ce qui avait dans tes couilles, salaud. C'est bon hein?
-Houm hum ha, fait Julien en se débattant.
Julien essaie de repousser les doigts pour cracher, mais Clara a trop de force.
Clara enlève le bras qui était dans le dos de Julien, pour le passer devant, et pousse sur le torse pour obliger Julien à se coucher. Il se retrouve cassé en deux, son corps entre les deux sièges,
arc bouté, les jambes écartées. Et là, Clara, qui a sorti ses doigts de la bouche de Julien, plonge entre les cuisses, sous les couilles, et lui caresse la rosette.
Dans sa position, Julien ne peut pas empêcher l'assaut. Alors, imperturbable, Clara enfonce un doigt, puis deux, et commence à branler l'anus de Julien. Sa queue, qui était tombée, se retrouve en
érection. Clara accélère. Julien gémit.
-Oua ah oua, conasse, tu me baise, ouiaaah.
Sans que Clara l’ai touché, des jets de sperme envahissent une nouvelle fois la cabine.
-Tu as vu comme je t'ai mâté, ironise Clara. Tu as vu ce qu'une femme peut faire avec un homme. Je t'ai pris par les couilles, je t'ai branlé, je t'ai sodomisé.
L'humiliation est totale. Julien a repris sa position assise sur Clara. Sa tête est appuyée sur sa poitrine, comme un bébé. Machinalement, Clara fait rouler la petite queue de Julien entre ses
doigts, comme si elle roulait une cigarette.
-Dans une semaine, je rentre mon camion au garage, dit Clara, et on a le même parcours
Mais après ce que je t'ai fait, je doute que tu veuilles encore m'héberger.
-Oh que si. Tous les soirs si tu veux. Tu pourras même t'amuser avec moi. Tu ne voudrais pas qu'on essaie de dormir un peu.
-Tu as raison, répond Clara. Si on est en forme demain matin, tu auras une petite gâterie.
Bonne nuit.
Derniers Commentaires