histoires de sexe

Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 15:56
Marion reçoit une convocation, suite aux cv qu'elle avait envoyée à différentes entreprises.
C'est une entreprise informatique du Var, qui s'agrandit, qui la convoque.
Marion soigne sa tenue vestimentaire, c'est important pour un entretien.
Elle arrive dans le hall, dix huit femmes et filles sont là pour trois postes à pourvoir.
Une hôtesse l'accueille. Sur son badge, il y a écrit Sapho. Marion l'a dévisage.
"Quelle bombe, quel yeux, et quel corps" remarque Marion.
-Suivez moi, Mademoiselle, le premier entretien est avec le chef du personnel.
Marion sort une demi-heure après.
"C'est quoi cet entretien, A part me mâter, il m'a rien demandé"
Trois heures plus tard, il ne reste que cinq filles.
-Sapho va vous accompagner à tour de rôle chez le grand patron.
Marion passe la dernière.
-C'est a vous, Mademoiselle, dit Sapho, suivez moi.
Elle l'ouvre la porte du bureau, et invite Marion à entré.
Marion rentre, un peu tremblée.
Le grand patron lui tourne le dos, et regarde par la fenêtre.
-Déshabillez-vous, je vous prie, ordonne-t-il.
-Quoi, bondit Marion, mais vous me prenez pour qui ? C'est quoi ce Job ? Je préfère couper court. Au revoir.
Marion se dirige vers la porte. Celle-ci est fermée à clé.
-Laissez moi sortir, crie-t-elle en se retournant.
Elle porte les mains à son visage, ses jambes ne la tiennent plus. Sans qu'on l'invite, elle s'assied.
-Mon dieu, dit-elle en pleurant, David
-Viens dans mes bras mon amour, dit David. Je t'ai pas oublié tu sais
-Chéri, répond-elle en se blottissant contre lui. J'espérais plus te revoir.
-Mais moi, je le savais. Tu n'as pas reçu une convocation par hasard. Sacrée Marcelle.
Je te garde à la villa cette nuit Sapho, les entretiens sont finis ? Bon on prendra les décisions demain.
-Sapho, demande Marion, mais c'est la déesse des lesbiennes.
-Je crois, répond David, c'est peut-être pour çà que c'en est une.

Une heure plus tard, David et Marion sont nus dans le jacuzzi de la superbe villa.
Marion rampe vers David, et lui saisit le sexe déjà tout raidit.
-Je peux, demande-t-elle
-Bien sur, répond-il, quelle question. Il t'appartient
-Rassure moi, poursuit-elle, tu as débandé depuis nôtre dernière relation, à moins que....
-Non, dit David, il n'y a eu personne d'autre après toi. Et toi, un petit copain ?
-J'ai eu peur d'être déçu, après ce que j'ai vécu avec toi.
-Tu es bien câline mon amour, dit David, tu sais que tu m'as manqué.
-Et moi, répond Marion. Combien de fois j'ai pensé à toi. Depuis notre rencontre personne ne m’a touchée.
-Si tu es d'accord, poursuit David, on se quitte plus.
-Tu es sérieux, tu me garderais avec toi ?
-Si tu veux t'investir dans l'entreprise, dit David, ta place est ici.. Mais d'abord, je vais te faire l’amour
-Oh oui mon chéri, baise moi, fort.
Dans les remous du jacuzzi, Marion vient s'asseoir, jambes écartées, sur la queue de
David, passant ses bras autour de son cou
-Toujours aussi dur, à ce que je sens. Depuis que ma chatte attend cette queue !
Les coups de reins de Marion augmentent les vagues du jacuzzi.
-Marion, Marion, que je t'aime. Tu me fais jouir, petite vicieuse.Hou, ha..ha..oui oui haaaa.
-Et moi, tu crois que je joui pas, comme tu me niques, salaud, hou, hou oui, je suis à toi mon amour.
Marion reste empalée sur la bite en érection de David.
-Restons comme çà, murmure- telle, s'il te plait. C'est tellement bon de te sentir en moi.
-On va aller au lit, propose David, je vais te prendre encore si tu veux.
-Si je veux, bondit-elle. Tu vas me faire l'amour toute la nuit ? Quel cadeau du ciel. Je serai déçu si je te perdais.
-Mais, pourquoi tu veux me perdre, répond-il, je t'aime tant. C'est toi qui te lasseras de moi
Un jour, tu rencontreras quelqu'un de ton age, que tu aimeras. Je ne t’en voudrais pas, je suis pas éternel, je comprendrais.
-Jamais, répond-elle en pleurant. Tu es tout pour moi.
Marion sursaute quand elle sent une main lui caresser les seins. Des doigts experts font rouler ses bouts. Elle soupire langoureusement.
-Tu veux encore me le mettre ?demande Marion en prenant la queue de David, salaud. Tu vas me rendre folle. Tu en profites de ma petite chatte toute jeune, hein ?
David est allongés sur le dos. Il attire Marion sur lui, sur le dos elle aussi, jambes écartées.
Le gland de David et contre la chatte de Marion. C'est elle, qui, d'un mouvement des hanches se fait pénétrer.
Dans cette position, son corps est totalement offert aux mains de David. Il ne s'en prive pas.
D'une main, il caresse les seins, de l'autre, il décalotte le clitoris, et le fait rouler avec deux doigts. Marion est aux anges. Elle se déhanche pour mieux sentir son amant qui joue avec elle.
-Oh, mon petit bouton, comme tu l'excites, caresse le, gémit-elle. Comme tu me baises, je vais jouir, vas-y mon amour, ha...ha...hou, oui, que c'est bon ce que tu me fais.
-Je crache moi aussi, râle David, tu sens comme je me vide, oh, ma petite pute, comme je t'aime.
Les gémissements s'estompent. Leur corps vidés, épuisés sont inerte sur le lit.
Au réveil, Marion est seule dans la chambre Un petit mot sur le chevet.
"Mon amour, ton petit déjeuner est prêt. J'expédie les affaires courantes, et je rentre, je t'aime.
"C'est un conte de fée, se dit Marion, je rêve, je vais me réveiller. C'est trop beau. Tomber amoureuse à ce point d'un homme de cet age"
Perdue dans ses pensées, Marion sort de la douche, et se retrouve nez à nez avec David.
Elle a enfilé une chemise de son amant qui ne cache rien de son superbe corps.
-Bien dormi, ma chérie ? demande David. Que tu es belle mon dieu. Si je pouvais t'avoir tout le temps dans cette tenue.
Marion s'approche, passe ses bras autour de son cou, et l'embrasse.
-Fait moi un bébé, dit-elle.
-Quoi, répond David, mais tu es folle. Je veux pas gâcher ta vie mon amour. Que dirai tes parents Mais quel beau cadeau ce serai à mon age.
-C'est pour voir ce que tu en pensais, mon chéri. Tu m'as prouvé ton amour. Mais attention, je peux te piéger.
-J'assumerai, dit-il, tu sais que tu es tout pour moi, alors si tu me donnes un enfant…
-J'ai une question a te poser. Sapho, elle est passée dans ton lit ?
- Marion, pourquoi tu me demandes çà. Sapho est une lesbienne. Très bonne employée, en troisième place dans l'entreprise. Mais tu vas voir, elle va te draguer.
-Qu'est ce qu'elle est belle, ouah ! Tu nous imagines toute les deux, nues dans un lit en train de faire l'amour.
-Oh là, mais tu as tout les vices, dit David, mais si tu veux t'amuser, pourquoi pas ?
Marion a fait glisser la chemise.
-Je suis toute mouillée chérie, caresse moi la chatte, mon petit bouton surtout.
David se déshabille, et tire une chaise.
-Viens t'asseoir sur moi, ordonne-t-il, mais suce moi avant.
Marion obéit. Elle prend la queue de David, et commence à la branler Arrivée à une taille respectable, elle la décalotte et la prend en bouche. Le sentant prêt, elle se lève, lui tourne le dos, puis, jambes bien écartées embroche sa chatte toute mouillée sur la bite de David.
Elle monte et descend sur la colonne de chair.
Comme elle l'avait demandé, David s'acharne sur son clitoris, allant même jusqu'à le martyriser. Marion s'agite de plus en plus.
-Oh putain, dit-elle en larmes, tu me maques salaud, tu m'ouvres la chatte en deux, vas-y,
haaaaaaaa, regarde tout ce qui sort de chatte, je me vide complètement ouiiiiiiiiii.
Marion se retourne et prend David à pleine bouche. Elle le mord jusqu'au sang.
-Tiens salaud, çà t'apprendras. Mon dieu, c'est pas vrai, ma chatte coule encore, mais qu'est ce que tu me fais ? C'est toi, polisson de bouton qui le nargue. Voilà le résultat. Il me met plein de coups de queues
-Que tu m'excites de parler comme çà, tu vas voir mon oiseau ce qui va t'envoyer. Tu le sens qui te fouille là, tu te régales, salope, jeeee jouuuiii, çà y est hou ha.. ha ouii.
-Tu vois, ironise-t-elle, même les petits oiseaux se font choper par les chattes. Tu sens le tiens comme je le serre. Il est prisonnier, hein ? Il a voulu défier ma chatte. Tu vas voir quand il va sortir, le pauvre, il sera tout mou !
Marion se soulève, se retourne en souriant, comme pour savourer sa victoire. Son visage se fige
-C'est pas vrai, remarque-t-elle. Elle est plus grosse qu'avant d'entrer ! Tu as un secret mon chéri. Quel amant tu es.
Les deux amants prennent une bonne douche.
-Tu sais qu'à partir d'aujourd'hui, tu es ma secrétaire particulière. Prépare toi, je vais te faire visiter l'entreprise.
-A bon, tu vas être mon patron alors. Je vais m'habiller, mais tu restes là, des fois que...
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 15:44
Le titre est évocateur certes ... le plaisir dans la douleur , cette sensation de ne plus rien contrôler...Oui je rêvais de ça , mais loin d'imaginer une seule seconde que j'allais pleurer entre douleur et plaisir , peut être plus de douleur , mais le plaisir ressenti fut lui aussi assez mémorable....

Mes histoires plaisent car vécues, aussi un nombre impressionnant de mails (par ailleurs merci, cependant je ne peux répondre à tous et tou...euh??? Mesdames, vous êtes trop rares, mais bises à vous.. Je disais je ne peux répondre à tous aussi toutes mes excuses...)

Si je peux vous raconter aussi aisément ces histoires et les relater en vous faisant sentir ce que j'ai pu ressentir moi même c'est tout bonnement que je le vis grâce aux lecteurs que je contacte lorsqu'un mail m'interpelle ou des envies sur le moment communes.

Aussi ce mois de Juillet j'ai décidé de passer une semaine à rencontrer des internautes en quête de réaliser quelques phantasmes et envies (je précise avoir prit pas mal de renseignements, et quelques mesures de sécurité, en vue de tout se qui se passe .Vous en conviendrez...)
Aussi une semaine de pure folie où les larmes ont eu raison de moi ...et de ma jolie chatte comme de mon petit trou ....mais je l'ai voulu me direz vous ?
C'est vrai !
Après avoir multiplié les contacts les mails, j'ai eu cette chance de rencontrer un homme charmant (merci à lui encore et au plaisir ........) qui s'est occupé de trouver un lieu agréable et propice à des débats charnels dans un cadre sublime (il m'avait fait parvenir quelques photos) une jolie villa dans le sud avec piscine, paradisiaque !!!
Nous avons convenu de détails, des photos de messieurs qui seraient alors invités et être tout bonnement là juste pour leur plaisir ...pour ceux qui me connaissent, vous pensez bien que je n'ai pu refuser cela ;-)
Première mission avant d'aller vivre cette nouvelle aventure… visite chez ma copine esthéticienne qui s'est occupé de m'épiler juste un petit filet de poils ont survécu lol laissant ainsi apparaître généreusement mes lèvres charnues , j'adore me regarder ainsi ....
Ensuite, je prends le train et me voici à la gare à attendre, une heure devant un petit café, ce Monsieur qui devait arriver m'annonce avoir un peu de retard (une heure tout de même..) il fait très chaud ....
Enfin un texto m'annonçant qu'il se trouve à une sortie de la gare...
Le voici! Hummm!!! Ma première pensée ??? C’est que cet homme est plus séduisant que sur la photo et en cam, cinquantaine d’années, superbement vêtu (chemise en lin blanc ouverte légèrement, et pantalon dans le même esprit ...) bref!!! Soigneux et séduisant je disais ...
Il prend ma valise et nous partons dans sa voiture CLIMATISEE ouFFFFFFFFFF!!!! (Sud égale chaleur ...dans tous les sens du terme ;-)
Arrivée à cette jolie maison, villa dit on ....piscine et magnifique jardin, le chant des grillons et une chaleur inouïe !
Il retire sa chemise et me propose une boisson pour me rafraîchir (oui j'ai pu admirer immédiatement son torse et je l'ai trouvé très ... passons !) , mais l'eau me semble idéale...il m'invite à m'étendre sur un chaise de plage ...et immédiatement fait référence à mes histoires sur HDS, je sais que cela lui plait pour en avoir souvent parler avec lui...
Celui ci me fait alors part d'une surprise dès que j'aurais été me doucher ....(je ne rêvais que de cela me sentir fraîche après ce trajet de train ) aussi après ce verre d'eau rafraîchissant et une cigarette il m'invite à aller me doucher ....une salle de bain magnifique remplie de plante et cette douche murale avec jets… un régal...
Plus encore lorsque je l'ai vu se tenir non loin m'observer tout en se laissant aller à se branler, déjà raide une belle queue avec une toison soignée et de belles couilles rasées... excité quand je l'ai vu enfiler un préservatif tout en me fixant du regard....je continuais à profiter des jets jusqu'à se qu'enfin il me rejoigne dans la douche et pour avoir parlé avec lui longuement je vous le disais par cam interposée, je ne savais que trop ses envies ...
Et effectivement , sa première approche fut de m'empoigner la poitrine de la mordre la lécher tout en se frottant à moi puis presque aussitôt me plaquer au mur de la douche écarter mes fesses et sentir sa bouche me dévorer l'anus ... sa langue me laper ....puis s'enfouir, ça me rendait folle et je me voyais écarter mes fesses de moi même pour le sentir plus encore, ses doigts fouillaient à présent ma chatte puis un doigt dans mon anus déjà dilaté de sa langue;....il se releva pour me faire me pencher et m'enfoncer d'un coup sa belle queue j'ai crié car pas assez prête malgré ses caresses ....mais ses va et vient m'ont vite conquise ...je sentais son gland sortir et entrer par de fabuleux coups de reins ...ses mains maintenant mes fesses écartées puis cette phrase" j'avais hâte de te baiser le cul mademoiselle –salope !!! " Il se retire et enlève rapidement le préservatif et m'enfonce sa queue dans la bouche pour y venir aussitôt, me demandant de le garder en bouche et de tirer la langue et de lui montrer ....je m’exécute..Puis je peux avaler à présent son foutre.
Une douche à nouveau, en me faisant part que cela n'est qu'un début...
Oui un début , car pas loin de deux heures après alors que je me faisais dorer au soleil nue (voeu de Monsieur) il revint avec deux charmants compagnons un très beau métisse d'une trentaine je pense et un jeune homme brun super bien bâti mais là je dirais vingt voir vingt deux ans tout au plus , ils me regardaient avec mon hôte parlant et souriant en me regardant ...avec à peine un signe de salut , ils se sont approché et déjà le métisse se mit au dessus de ma bouche et enfonça sa belle et grosse queue au fond de ma gorge me tenant d'une main les joues tandis que l'autre léchait ma chatte immédiatement trempée...cette pipe m'excitait adorant me sentir au bord de l'étouffement de me sentir saliver , baver ; de pouvoir sentir cette queue durcir ..;hummmm!!!!!
Il se retire et laisse son compère prendre place, beau membre également, lui me fit lécher copieusement ses couilles me demandant de cracher dessus puis de laper doucement sa queue ...l'autre enfonçait à présent ses doigts dans ma chatte je ne sais pas combien à dire vrai ...mon hôte lui enfilait à nouveau un préservatif...
Je me suis trouvée à quatre pattes au bord de la piscine avec des coups de queue violents délicieux me faisant gémir ....pendant que mon hôte lui à mon grand plaisir léchait le cul de ce beau métisse juste devant moi en lui écartant ses belles fesses ...et enfin le lui prendre , le jeune lui me disait "regarde salope et avoue que ça t'excite de le voir se faire baiser le cul,' t'aimes ça ..." je ne pouvais qu'avouer , cela me faisait mouiller plus encore et j'avoue que j'aurais voulu pouvoir lécher sa queue pendant qu'il se faisait baiser ainsi devant moi....le jeune prit mon cul en me claquant le cul avec force j'ai gémi et cela n'a fait que l'exciter davantage ses coups de queues violents me faisait crier à présent mais mon dieu se que j'ai adoré ça ....
Monsieur mon hôte se retire du beau métisse et change de préservatif me disant vouloir se finir dans mon cul...le métisse quant à lui m'offrit la vue de son cul dilaté et me fit le lécher ...pour finalement venir éjaculer sur ma figure ...hummmmm!!! Ce que j'adore ça !!! Le jeune en fit autant et là j'avoue que j'étais comblée mais aussi deux sodomies si rapprochées me laissaient déjà quelques douleurs mais encore supportables...
Le lendemain mes trois compagnons me font découvrir les environs ....superbe région, des vues imprenables, ballades magnifiques bien que toujours cette chaleur écrasante malgré le vent.
Nous arrivons à une sorte de plage, ou crique je ne sais pas trop, pas énormément de monde mais étonnamment que des hommes et nus, des très beaux d'autres moins plaisants mais nus certains queue à la main d'autres se prélassaient au soleil , je ne suis pas resté étonnée très longtemps..."Cette plage est privée ,m'explique mon cher hôte, et de ce fait ces messieurs invités , mais ils n'auront pour droit que de te lécher les seins , la chatte à ta simple demande ou à la mienne ils auront le droit de te prendre ta belle chatte que si tu le souhaites par toi et toi seule , mais tout cela se passera devant moi ,...et ..... Le métis et le jeune.
J'ai fais le compte rapide des hommes sur la plage, huit....huit messieurs là à se dorer au soleil me regardant ..; d’autres plaisantant, j'imagine aisément les conversations ....lol
Je me suis dévêtue, pour commencer diriger vers l'eau et ainsi mise à nager mais je dois avouer que de voir tous ces hommes n'attendre qu'un mot qu’un geste pour me prendre était soit plaisant mais assez bizarre et un peu déconcertant , se sentir ainsi observé et attendu .....Mais bon, je suis là pour ça, je le savais quelque part en vue de mes discutions avec mon cher hôte ....
Quand je revins de ma baignade, certains comme le métisse suçait un autre, mon hôte prenait un de ces beaux ....mâles ;-)
J'avais envie de tester et de ce fait je demande à un monsieur je sais pas je dirais ....? Quarante enfin bref.. de me lécher , j'ai dis cela avec un peu de gêne ...pourtant il n'a pas mi long à s'exécuter il écarte mes jambes sans aucunes caresses et fourre sa langue dans ma chatte en écartant fortement mes lèvres ...mais pourtant j'avoue que j'ai adoré cette langue pressante j'étais excité plus encore de voir les autres bander et je sentais les attentes, aussi j 'ai invité tout de suite trois autres à venir me lécher et se branler devant moi , de me faire caresser lécher tour à tour et me faire pétrir, pincer les seins parfois douloureusement ....bientôt hôte ; métisse et le jeune étaient tous autour de moi ; mais là je ne pouvais plus que gémir, en sentant des langues, des doigts me pénétrer des queues giclant sur mes seins un ou deux sur ma figure je crois que deux ou trois on dû me prendre je ne sais pas combien au juste je ne voyais que des papiers de préservatifs à côté de moi dans le sable et des râles que j'entendais moi je me sentais mouiller ...j'écartais plus encore mes cuisses ....je m'entendais même parfois réclamer "encore" ...c'était excitant étouffant enivrant ...je me suis senti porter et mise à genoux suçant des queues , j'en avais des hauts le coeur à sentir du foutre , des coups de queues profonds , je me sentais baver ...les larmes m'empêchaient de réaliser qui je suçais ou pas ....mais j'aimais ça ma chatte dégoulinait , je la sentais gonfler et ces langues fouineuses , les claques sur mes fesses ......... ses doigts pénétrants mon anus de plus en plus dilaté me le faisant lécher , doigter ....puis prendre ...là j'ai du crier mais je sentais une queue me ramoner de plus belle ...je ne savais plus où j'en étais ....j'ai adoré j'ai aimé être baisé ainsi sans pourtant pouvoir au juste savoir qui quand etc ...
Puis ça s'est calmé peu à peu, le temps que cela a duré ??? Je dois avouer que je n'en ai pas la moindre idée !
Je sais juste que mon hôte avait l'air satisfait pour m'avoir dit en m'offrant une clope, " tu es aussi salope que je le pensais, c'est dingue de te voir accuser des coups de queues comme ça et te voir sucer et réclamer, tu es aussi chienne que dans tes récits..Mais c'est pas fini !!!"
Salope, chienne oui c'est vrai j'adore ça ....peut être est ce pour certain péjoratif ?? Pour moi dans le sexe tout est différent, on a là un moyen de se lâcher de pouvoir vivre toutes sortes d'envies de plaisirs, et juger ??? bien juger en ce cas que par des gens dans les mêmes attentes que vous , découvrant qu'il y a des femmes plus garces plus désireuses que leurs épouses , plus salopes , chiennes ou simplement appréciant plus le sexe que d'autres.... ;-)
Les jours suivants furent du même style baise sans cesse jusqu'à une des dernières soirées où là ces messieurs tous réunis m'ont prise doigté ..pénétré , baisé copieusement et ce fut le bouquet final chacun d'eux me sodomisait ou me prenait ma chatte , j'étais à bout de force accusant certains coups de reins difficilement , d'autres m'arrachaient des cris entre douleurs et plaisirs ...je suçais , bavais tant les queues s'enfonçaient sans aucune restrictions , entre deux douches mon cul se faisait remplir l'un de ces hommes me glissa quatre doigts dans mon anus bien dilaté et malgré le lubrifiant cela m'arrachait des plaintes mais je me voyais encore m'écarter tendre plus encore ma croupe ...pourtant j'en pleurais je n'en pouvais plus ..je pleurais réellement ne sachant plus si je pleurais de douleur ou de plaisir mais je peux vous assurer qu'avant de remettre cela et pourtant nous sommes en août à présent je vais attendre car j'ai encore le cul douloureux...mais si je dois dire quelque chose c'est que j'aime avoir toutes ces queues , ses mains , ses doigts me rendre ainsi car cela procure un vertige , des sensations affolantes de soumission de don de soi ....qui moi me font vibrer ....j'aime sentir des hommes se lâcher , vivre des envies ...et surtout faire de moi leur salope ...leur chienne être la pute qu'ils rêvaient de baiser au moins une fois ....
Votre dévouée salope,
demoiselle-s
PS:
Merci aux messieurs en question ;-)))
Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 15:43
Il est vingt deux heures, le relais routier commence à se vider. Les chauffeurs regagnent leur camion. Clara, une femme de trente cinq ans, un mètre quatre vingt, quatre vingt dix kilos, une force de la nature, discute avec Arnaud.
-J'ai un sacré problème, dit-elle, le chauffage de mon camion marche plus, et les nuit sont fraîches.
-Ah bon, répond Arnaud, demande à Julien, son nouveau camion a deux couchettes.
Julien est un homme de quarante cinq ans, un mètre soixante dix, soixante quinze kilos.
-Juju, demande Clara, j'ai plus de chauffage dans ma cabine. Au cas ou, tu peux m'héberger?
-Pas de problème, tu auras qu’à taper à la portière.
Dans son village, Clara a une réputation de femme possessive, dominatrice. Son copain en sait quelque chose. C'est elle qui commande.
Au bout d'une heure, n'y tenant plus de froid, Clara frappe chez Julien. Il ouvre. Il est juste vêtu d'un tee-short qui lui arrive à mi-cuisse.
-Vite, monte, lui dit-il, il fait froid. Tu veux un café.
-Non merci, c'est gentil répond-elle.
-Je vais prendre la couchette d'en haut, dit-il, celle du bas est un peu plus large.
Julien commence à monter, pose un genou sur la couchette, dévoilant ainsi toute son anatomie à Clara, placée derrière lui. Elle avance sa main entre les jambes écartées de Julien.
-C'est quoi ce qui pend là, dit-elle. Oh, mais c’est une paire de couilles.
Julien est paralysé par la surprise. D'autant plus que Clara a tendance à serrer un peu fort ses bourses.
-Aie aie, fait Julien, çà va pas, tu me fais mal.
-Chut, dit-elle, je ne vais pas te tuer, calme toi, laisse toi faire.
Elle fait rouler les testicules entre ses doigts. Elle continue sa progression sur le devant des cuisses, et lui saisit le pénis, Et là, elle part dans un éclat de rire.
-C'est tout, dit-elle. C'est quoi cette petite mèche. C'est la première fois que je tiens un petit bout comme çà. Juste pour pisser.
C'est vrai que Julien a une belle paire de couilles, mais sa queue, au repos, doit mesurer quatre à cinq centimètres. Julien rougit de honte. Clara tire sur ses couilles pour le faire descendre. Elle s'installe sur le siège passager.
-Viens t'asseoir sur mes genoux, ordonne-t-elle, on va jouer tout les deux.
Pris aux testicules, Julien est obligé d'obéir. Elle lui demande de quitter son tee-short.
Il s'assied sur les genoux de Clara. Subitement, elle écarte ses jambes, pour prendre en tenaille les couilles de Julien entre ses cuisses
-Aie aie, se plaint Julien, tu me coinces. Tu vas me les écraser.
Clara, en riant, écarte ses cuisses. Puis d'un coup les resserrent.
-Aie aie, çà suffit, qu'est ce que tu cherches, salope.
-Tu me parles pas mal, ok.
Elle serre.
-Aie aie, assez, s'il te plait, je t'ai rien fait.
Julien se calme. Clara le regarde dans les yeux en souriant. Elle joue avec sa petite queue tirant dessus, la faisant rouler entre ses doigts. Julien ne dit plus rien. Il sait qu'il ne peut rien faire. Il est soumis à cette femme. Clara le sent à sa merci. Elle va pouvoir s'amuser avec lui, l'humilier même. Un sourire apparaît sur ses lèvres. A force de caresse, la petite queue commence à grandir, pour atteindre quinze à seize centimètres.
-Ben dit dont, remarque Clara. Partir de rien et arriver à tout çà, c'est super. Tu vas voir comme je vais te faire du bien.
Julien avala sa salive. Les yeux mi-clos, il savoure cet instant, et il n’est pas au bout de ses surprises. Elle commence à faire des va et vient avec sa main sur la bite de Julien. Elle passe un bras dans son dos pour le maintenir un peu en arrière. Elle écarte ses cuisses pour qu'il dégage ses bourses.
-Soulève toi un peu, que je te prenne les couilles, dit-elle. Voilà, j'ai tout en main maintenant.
Je vais bien m'occuper de toi.
Elle fait rouler les testicules entre ses doigts en serrant un peu.
-Non, dit-il, plus çà, s'il te plait, ne serre pas.
-A, soit sage, gronde-t-elle, sinon je vais te faire couiner.
Clara mouille ses doigts, et s'attaque à la queue de Julien. Elle joue avec le prépuce, calottant et décalottant le gland. Du majeur elle caresse le méat, faisant sursauter Julien.
-Qu'est ce qu'il t'arrive mon Juju, tu te régales, hein. Tu aimes ce que je fais à ta queue.
Tu veux que j'arrête?
-Non, surtout pas, répond-il, c'est trop bon. Putain, comme tu te sers d'un homme.
Clara ne veut pas qu'il jouisse, alors elle reprend les couilles en mains, sans serrer cette fois. Elle les caresse. Julien se laisse aller aux désirs de cette femme, qui fait de lui, ce qu'elle veut. Clara maîtrise la situation. Elle mouille une nouvelle fois ses doigts, et repart à l'assaut. Elle les fait tourner autour du gland pour bien l'humidifier. Julien lance des plaintes de plaisir.
-S'il te plait Clara, ne me fait pas râler, branle moi. Tu peux pas me laisser comme çà.
-Envie de quoi, demande-t-elle. Tu veux que je fasse pleurer ton petit oiseau. Tu vas salir ton camion.
-Je m'en fou, je nettoierai, mais, fait moi plaisir, s'il te plait.
Clara commence ses va et vient sur la bite de Julien, d'abord lentement, puis de plus en plus vite. Julien pousse des plaintes, des gémissements. D'un coup, Clara arête ses mouvements.
-Oh non, pas çà salope, râle Julien, j'allais venir, tu es méchante. Continue, fait moi jouir.
Clara sait qu'il a raison. Ce qui ne l'empêche pas de continuer. Elle lui caresse le torse, grattant les mamelons avec ses ongles. Elle le regarde d'un air ironique. Elle redescend, saisit son membre et reprend sa branlette. Mais là, elle accélère. Elle veut le finir. Julien commence a s'agiter. Son bassin se soulève, çà y est.
-Ha haa oui, comme çà, vas-y, je crache ohohoh, salope.
Julien éjacule, Sa semence traverse la cabine. Puis Clara met l'index et le majeur tout prêt du méat pour récupérer du sperme. D'un geste vif, elle enfonce ses deux doigts dans la bouche ouverte de Julien.
-Tiens, goutte, lui dit-elle, goutte ce qui avait dans tes couilles, salaud. C'est bon hein?
-Houm hum ha, fait Julien en se débattant.
Julien essaie de repousser les doigts pour cracher, mais Clara a trop de force.
Clara enlève le bras qui était dans le dos de Julien, pour le passer devant, et pousse sur le torse pour obliger Julien à se coucher. Il se retrouve cassé en deux, son corps entre les deux sièges, arc bouté, les jambes écartées. Et là, Clara, qui a sorti ses doigts de la bouche de Julien, plonge entre les cuisses, sous les couilles, et lui caresse la rosette.
Dans sa position, Julien ne peut pas empêcher l'assaut. Alors, imperturbable, Clara enfonce un doigt, puis deux, et commence à branler l'anus de Julien. Sa queue, qui était tombée, se retrouve en érection. Clara accélère. Julien gémit.
-Oua ah oua, conasse, tu me baise, ouiaaah.
Sans que Clara l’ai touché, des jets de sperme envahissent une nouvelle fois la cabine.
-Tu as vu comme je t'ai mâté, ironise Clara. Tu as vu ce qu'une femme peut faire avec un homme. Je t'ai pris par les couilles, je t'ai branlé, je t'ai sodomisé.
L'humiliation est totale. Julien a repris sa position assise sur Clara. Sa tête est appuyée sur sa poitrine, comme un bébé. Machinalement, Clara fait rouler la petite queue de Julien entre ses doigts, comme si elle roulait une cigarette.
-Dans une semaine, je rentre mon camion au garage, dit Clara, et on a le même parcours
Mais après ce que je t'ai fait, je doute que tu veuilles encore m'héberger.
-Oh que si. Tous les soirs si tu veux. Tu pourras même t'amuser avec moi. Tu ne voudrais pas qu'on essaie de dormir un peu.
-Tu as raison, répond Clara. Si on est en forme demain matin, tu auras une petite gâterie.
Bonne nuit.

Par No limit - Publié dans : histoires de sexe
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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 15:36
La bibliothèque


Karine entra dans la bibliothèque, le livre d’instructions dans les bras, posé contre sa poitrine. La bibliothèque était sens dessus dessous. Comme c’était un premier contact pour elle avec cette pièce, ses yeux en firent le tour, histoire de se rendre compte de la tâche qui l’attendait. Son patron l’avait prévenue et l’avait aussi rassurée : ‘Ne vous en faites pas mademoiselle, si vous suivez les instructions écrites dans ce manuel, tout ira pour le mieux.’ Un peu de frustration pouvait se lire sur son visage… ce n’était pour jouer les bibliothécaires qu’elle avait accepté le poste dans cette société 3 mois auparavant!

Après avoir jaugé cet endroit, Karine voulut déposer le manuel. C’est là qu’elle se rendit compte que la pièce ne disposait que de 2 meubles : un canapé 2 places ainsi qu’une minuscule table à café. Bizarrement, pensa t’elle, aucun des deux n’avaient de livres posés sur eux. Tous les livres qui n’étaient pas dans les rayonnages se trouvaient sur le sol. Elle s’asseyait donc sur le canapé et ouvrit le livre d’instructions sur ses genoux. Une lecture approfondie lui donna donc les directives nécessaires au rangement par auteur puis par titre. Rien de bien compliqué! Karine entreprit alors de commencer le travail.

Cela faisait quelques minutes qu’elle avait commencé lorsqu’elle nota que les couvertures des livres étaient toutes recouvertes d’un tissu rouge avec les lettres imprimées en jaune brillant. Ce détail lui avait auparavant échappé et pourtant, c’est vrai, tous les livres, au-delà de leur formes, étaient semblables. Mon patron doit être un passionné pour recouvrir ainsi ses livres, pensa t’elle, ou bien ont-ils une haute valeur. Elle ouvrit donc un livre pour en connaître la teneur, et, là, stupéfaction, un dessin lui apparu; une femme, à demi-dévêtue, s’adonnait aux joies de la masturbation. Sur la page d’à côté se trouvait un texte qui, après lecture, s’avérait être lubrique. Elle tourna la page suivante. Nouveau dessin, d’un homme pénétrant une femme, et la suite du texte. Encore une autre page : une autre femme s’est jointe au couple.

Une frénésie s’empara de Karine. Elle posa ce livre puis en prit un autre et le feuilleta. Pas de dessin, cette fois, mais une histoire, une histoire orgiaque. Ses yeux parcourent le texte rapidement. Des mots explicites lui sautaient aux yeux. Cul, bouche, pipe, langue, sexe, levrette, seins, queue, lèvres, femmes, plaisir… À l’évocation de ces mots, des scènes, elle sentit ses lèvres s’assécher, sa gorge se nouer, son clitoris et ses seins se gonfler. Une excitation, totalement sexuelle, s’emparait d’elle. Elle prit un troisième livre. Là, elle trouva des gravures de femmes faisant l’amour entre elles. Aucun texte, juste des images. Jamais elle n’avait fait l’amour avec une femme. Pourtant, maintenant, tout de suite, elle en aurait embrassé, caressé, cajolé, mangé voir violé une. Le désir de faire jouir, de jouir, l’emportait sur la raison!

Sa respiration devenait de plus en plus courte. Son cœur battait dans ses tempes et ses oreilles bourdonnaient. Ses seins se soulevaient, à chaque fois, de telle façon que ses mamelons frottaient contre son chemisier au travers de la dentelle de son soutien-gorge. Sa culotte, sous son pantalon, était mouillée. De l’ongle de son pouce, elle vint gratter le bout de son sein, amplifiant ainsi le désir. Du fond de sa personne, elle avait la totale envie de se masturber, de jouer avec son corps, de prendre son pied. Elle ferma les cuisses, contracta puis décontracta ses muscles pelviens plusieurs fois de suite, ce qui l’entraîna dans une escalade de jouissance incontrôlable. À son grand regret, elle jouissait mais ne pouvait ainsi atteindre l’orgasme. Elle reposa le livre, essayant de reprendre ses esprits. Le fait de réfléchir à la méthode qu’elle pourrait employer pour éviter de se faire surprendre, alors qu’elle n’était pas vêtue adéquatement pour ce genre d’activité onirique, la calma quelque peu. C’est à ce moment précis que l’on cogna une fois à la porte et que celle-ci s’ouvrit. C’était son patron. ‘Mademoiselle Karine, j’ai un travail urgent à vous faire faire. Vous reprendrez le classement plus tard’ lui dit-il. ‘Bien monsieur’ réponda t’elle, les joues rouges. S’aperçut-il de quelque chose?

Cela faisait déjà une dizaine de jours qu’elle avait mis les pieds dans la bibliothèque et elle n’y était pas encore retournée. Depuis cette fois, tous les jours, tous les soirs, et sûrement toutes les nuits vu son état au réveil, elle y pensait. Elle tentait quotidiennement de se raisonner. Ce ne sont que des dessins en 2 dimensions! Et pourtant, l’évocation artistique des sexes, des corps, des actes emplissaient son cerveau. Son humeur, à mesure que les jours passaient et l’éloignaient de la perspective d’un retour dans cette salle, s’assombrissait. Elle se souvenait de l’effet du désir, s’en gratifiait manuellement mais vivait la frustration de ne pouvoir revivre ces sensations. Une petite déprime?

Le vendredi après-midi, au départ du bureau, elle croisa son patron dans le couloir. ‘Bon repos, mademoiselle Karine. On se revoit lundi. Au fait, lundi après-midi, j’apprécierais que vous retourniez à la bibliothèque pour continuer le rangement.’ ‘D’acc..cord, oui, bien Monsieur’. Le cœur léger, elle s’en alla. Elle avait retrouvé le sourire.

La matinée du lundi fut pleine d’émotions. Elle était entrée au travail, la légèreté au cœur. Par contre, au fur et à mesure que la petite aiguille de l’horloge avançait vers le haut, une appréhension l’envahissait. Et si Monsieur lui donnait une autre tâche? Au retour du repas de midi, alors qu’elle n’avait pas réussit à avaler quoique ce soit, il aura fallu 7 minutes, 7 longues minutes pour que Monsieur vienne la voir pour l’emmener vers la bibliothèque. Il lui remit le manuel et ouvrit la porte. ‘Mademoiselle, à 17H00, veuillez s’il vous plait quitter et fermer la porte à clef derrière vous. Je dois m’absenter aussi je vous confie les clés que vous me remettrez demain.’ Elle acquiesça.

À peine eut-il refermé la porte derrière lui que Karine se précipita pour ramasser les livres au sol. Elle les posa, en plusieurs piles, au côté du canapé. Elle rangea quelques livres sur la table à café suivant les instructions du manuel. Ainsi, toute personne qui entrerait dans la pièce aurait l’impression qu’elle travaillait studieusement. Elle sortit de la bibliothèque et alla aux toilettes qui se situaient à proximité. Elle entreprit alors de se débarrasser de sa culotte, déjà imprégnée de sa mouillure, ainsi que de son soutien-gorge. Ses vêtements, une jupe évasée, descendant jusqu’aux genoux, assortie d’un pull de couleur foncée et donc non transparent, elle les avait choisis en fonction d’accéder à son corps sans entrave aucune. Ses sous-vêtements furent rangés dans son sac à main.

Le retour dans la bibliothèque fut intense en émotion. Un bel homme lui aurait promis monts et merveilles en termes sexuels crûs qu’elle n’aurait pas été aussi excitée. Son fantasme, son désir, c’est elle qui allait les construire à son rythme. Elle posa ses fesses sur le bord du canapé, prit un livre au hasard, l’ouvrit. Un texte, des mots, trou, bite, langue, sodomie, orgasme. Un autre livre, des dessins : queue bandée et léchée, langue agile introduite dans un sexe de femme, seins enfermés dans des mains. Encore un autre livre, encore des textes, encore des images… Son excitation augmente, sa main s’abaisse. Elle remonte sa jupe en écartant les jambes. Ses doigts caressent sa cuisse puis viennent à la rencontre de son sexe. Elle se regarde. Elle voit les petites lèvres de son sexe poindrent au milieu de sa fente. Elle passe un ongle dessus, une décharge électrique parcourt sa colonne vertébrale, son sexe s’humidifie intensément. Elle remonte sa main vers le pull, ses yeux retournent vers les images. Elle découvre ses seins. Son plan est fait. Si quelqu’un entre, elle n’a qu’à se redresser en tirant sur son pull… ni vu ni connu. Par-dessus le tissu remonté, elle regarde ses mamelons en érection. De son pouce et son index, elle en pince un, le fait rouler : deuxième décharge électrique assortie d’un râle. Elle cambre le dos, offrant ses seins à une personne imaginaire. Le livre qu’elle tenait dans l’autre main tombe. Maintenant, elle a deux mains pour s’occuper d’elle. Pendant qu’une parcourt ses seins, ses côtes, son ventre, ses hanches et ses cuisses, soit en effleurant la peau soit en la triturant, son autre main est centrée sur son sexe. Son index ou son majeur ou les deux viennent frénétiquement frotter sa vulve. À chaque contact, elle sent ses muscles pelviens se contracter. Elle tient la tête baissée afin de voir ses doigts entrouvrir sa fente. L’index et l’annulaire écartant les lèvres, elle plongea son majeur dans son vagin. Elle le ressortit, il était luisant. Le portant à sa bouche, elle entreprit une fellation sur ce doigt tout en goûtant les saveurs de son sexe.

Ses hanches bougèrent. Ainsi assise, elle mimait les gestes de l’amour, s’imaginant chevaucher un homme, son sexe enfouit dans ses entrailles ou bien se frottant sur la cuisse ou contre le sexe d’une autre femme. Peu lui importait, un animal aurait fait l’affaire, elle voulait se perdre dans une explosion atomique de jouissance. Sa main retourna vers son sexe, les doigts allant caresser les pourtours de son clitoris ou bien plongeant dans son vagin au nombre de 2, 3 ou 4. Elle voulait s’écarteler, s’ouvrir. Elle quitta la position assise pour se mettre à genou, la tête posée sur le sofa. Ses seins, suivant la gravité, étaient plus malléables. Elle en profita pour les prendre, les malaxer, se faire souffrir… de plaisir. Sa main entre ses cuisses mimait une pénétration en levrette. Elle était tellement excitée à l’idée de se faire prendre ainsi qu’elle imagina se faire enculer. Sa main quitta son sexe, passa par-dessus ses hanches et, de son majeur mouillé, elle joua avec son trou du cul. Elle sentait son anus palpiter sous sa caresse. Son muscle se relâchait et, à ce point, elle aurait tout fait pour que quelqu’un lui déchire les entrailles.

Elle se releva, alla s’allonger sur le canapé, le dos posé contre les coussins du dossier, une jambe passée par-dessus un accoudoir, l’autre pied posé sur la table à café. Ainsi offerte, c’est à deux mains qu’elle entreprit d’atteindre l’orgasme, stimulant son clitoris et se pénétrant en même temps. Dans ces conditions, ce ne fût qu’une question de minutes avant de s’entendre crier, de ressentir une multitude d’orgasmes l’atteindre au plus profond de sa personne. Haletante, elle se redressa. Elle retourna aux toilettes. Le reflet que le miroir lui projetait de sa personne, démontrait toute l’intensité de ce qu’elle venait de vivre. Elle était en sueur, ses vêtements étaient chiffonnés, ses cheveux entremêlés. Elle passa plusieurs minutes afin de redevenir Karine, l’employée modèle.

Dans la chambre à coucher, Madame était allongée nue sur son lit. Un vibromasseur à la main, elle excitait son clitoris et, de temps à autre, plongeait dans son sexe. Le sexe de Monsieur se trouvait dans sa bouche et il le faisait coulisser en bougeant les hanches. Elle aimait se faire prendre par deux queues ou bien simuler cet acte. Comme souvent, quand Monsieur atteindrait l’orgasme, qu’il emplirait sa bouche de son sperme, elle pourrait alors s’entreprendre plus à fond. Du coin de l’œil, elle regardait la télévision. Les images qu’elle y voyait l’excitaient de plus en plus. Laissant glisser la queue de Monsieur de sa bouche, elle lui dit :’Huuuummm, j’aime l’ardeur avec laquelle elle s’envoie en l’air, cette… Karine? Tu pourrais peut-être l’inviter à une de nos soirées spéciales plutôt que de devoir la filmer dans ta bibliothèque. En tout cas, nos amis vont apprécier ce film… Beaucoup auront le désir, tout comme moi, de la faire jouir. Dis-lui donc que ta femme est folle d’elle!’. C’est sur le visage que Madame reçut le sperme de Monsieur.
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Lundi 1 septembre 1 01 /09 /Sep 15:36

Je me présente : j'ai 18 ans et cette année je suis partie en vacances toute seule sur une plage de la Méditerranée. Mes parents sont assez libéraux et je fais pratiquement ce que je veux, mis à part les restrictions sexuelles : ne pas coucher. Pour ce dernier point j'avais 15 ans lors de mes premières relations avec un garçon de mon age. Je n'en ai pas gardé un très bon souvenir, sinon une douleur au moment de la pénétration et la sensation d'être devenue une poupée gonflable.
Plus tard j'ai rencontré, à l'age de 16 ans, un autre garçon qui a su me convaincre de faire l'amour et surtout su me donner du plaisir. Sa façon de faire était toute simple, il s'occupait de mon corps, en entier, des pieds à la tête: il me faisait avoir des jouissances puissantes et connaître des façons de baiser extraordinaires : ses cunnilingus devenaient des chef d'oeuvre pour moi, mes orgasmes devenaient de plus en plus fort le temps passant. Malheureusement pour moi, il me quittait un jour pour partir très loin outre mer.
Bref arrivée à ma majorité je n'avais eu que deux hommes dans ma vie.
Ayant trouvé facilement un travail de surveillance dans une entreprise par l'intermédiaire d'une relation parentale, j'avais de quoi me payer ces vacances.
A mon arrivée dans la station je me mis en deux pièces pour aller plonger dans la mer, il était aux alentours de 19 heures : la plage se vidait il ne restait qu'un groupe de jeunes à proximité : deux couples et un garçon qui ne me déplaisait pas, seul.
Nous avons sympathisé presque de suite. Il était grand musclé, brun et surtout très attentif. Moi je suis assez grande : 1M 70, 9OB, 62,87, et j'étais fière de mon corps. J'ai les yeux bleus et suis brune aux cheveux presque noirs très longs. J'avais tout pour attirer les regards des hommes.
Devant les attentions dont j'étais l'objet j'étais très satisfaite. Nous devenions vite copains avec la bande de 18 à 25 ans. Lucien, c'était le prénom du garçon seul, m'invitait pour le soir même à aller à la fête de je ne sais plus quel saint qui avait lieu au centre-ville. J'acceptais et rendez vous fut pris à 21 heures.
Je me fis belle en choisissant des vêtements assez moulant dans lesquels je me trouvais à l'aise.
Je retrouvait le groupe de copain et chaque garçon du groupe m'invitait à danser, mais Lucien devint mon cavalier attitré et nous dansions de plus en plus serrés l'un contre l'autre durant la série de slows. Vers minuit j'avais un coup de pompe du à mon voyage. Je le dis à mon cavalier. Il voulu me raccompagner à mon petit appartement. Nous passions le long de la plage, et en mettant les pieds dans l'eau elle me paru chaude. Je le dis à Lucien qui prolongeât la promenade le plus loin possible. Je compris bien vite le but de cette longue promenade, mais me connaissant, je n'avais aucune crainte.
Il me proposât un bain de minuit. J'acceptais bien sur, déjà excitée par ce que j'imaginais.
A quelque mètre du rivage nous nous sommes mis entièrement nus, sous la lune je vis un corps bien fait et un sexe qui me parut énorme. De son coté il me fit des compliments sur mon corps.
D'un seul bond nous nous sommes retrouvés dans la mer très agréable. Lucien était de plus en plus près de mon corps et j'étais conquise d'avance. Je sentais au bas ventre l'envie féminine dans mon con d'avoir une bite pour le remplir. Nos lèvres se joignirent et un baisé très long fut échangé. Nous sommes sortis de l'eau et allongés, nu tous les deux sur la plage déserte. Il me mangeait les lèvres. Ses mains me pelotaient partout, et lorsqu'elles se posèrent sur mes cuisses, celles ci s'ouvraient toutes seules. L'accès à ma féminité était grand ouvert. Il en profitait pour me masturber. Je lui rendais la pareille et pris dans ma main son gros sexe et doucement je la masturbais à son grand plaisir.
Il prit un préservatif et le mit : je le regardais faire cette formalité avec un désir fou dans mon vagin. Enfin il se mit sur moi je guidais sa pine dans mon con et il me pénétrait lentement, jusqu'à la renter complètement: j'étais entièrement comblée par ce sexe qui m'emplissait comme jamais je ne le fût. Il me fit jouir plusieurs fois à la suite. C'était peut être l'effet de la protection qu'il portait. Je lui proposais de le sucer, étonnée moi même par mon audace de ma proposition. Il acceptait bien sur. J'entreprenais de caresser cette pine avec mes lèvres puis ma langue avant de l'introduire petit à petit dans ma bouche. Puis j'en avalais une bonne moitié, lorsqu'il se mit à me caresser le cul et y introduire un doigt, puis lentement trois. Cette prise à l'anus était une première malgré mes rapports lointains déjà avec mon ex qui ne m'avait jamais enculée. Je trouvais cette prise agréable, sans plus. Enfin il jouit dans ma bouche et curieusement j'avalais sa semence.
Nous avons encore baisé jusqu'à une heure avancée : l'aube apparaissait à l'horizon.
Nous avons passé durant tout notre séjour toutes les nuits à prendre des bains de minuit.
Il m'arrive souvent de revivre en mémoire ses instants de baise merveilleux pour moi…

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